Le Voyage de la Communauté /-/

Le jour se levait sur les vastes steppes de Rohan. Un pale soleil éclairait ces immenses étendues d'herbes et de richers, sur lesquelles aparaissaient de temps à autre quelques fermes isolées. Mais dans ce magnifique paysage, un groupe d'aventuriers se détachait du décor. Il s'agissaient des Membres de la Communauté du Silmaril, qui avaient entamé leur long périple pour sauver les Peuples Libres.

A la tete du groupe marchait Radagast, chevauchait l'un des chevaux donnés par Ceorl. Il était suivi par Cippora, la courageuse cavalière d'Edoras, et par les deux nains bagarreurs Halt et Walrim. Derrière eux venaient les deux frères Elladan et Elrohir, revetus d'une armure Noldo, qui scrutaient l'horizon de leurs yeux perçants d'elfes. Tandis que Elladan montait le hongre ramené par Cippora, Elrohir restait à pied, pour guider les trois mules transportant vivres et matériel. Enfin, tout derrirèe le groupe marchait Gandalf, le Magicien Blanc. Depuis le Conseil des Rois, il n'avait pas dit un seul mot, pas esquissé un seul geste. radagast commençait à prendre peur, mais els médecins affirmaient que Gandalf était saisi par une terrible maladie, que l'on nommait "l'inactivité". Rien ne pouvait guérir le Mage, qui arrivait tout juste à suivre le groupe tel une machine.

Autour de la Compagnie couraient dans l'herbe les quatres guerriers Drùedains, Ghan-Bur-Khan et ses fils. Le habitués aux traques dans les bois, ils avaient pour tache de retrouver la piste de HeimDhall à l'aide de divers éléments. C'est ainsi que le plus jeunes des Hommes des Bois s'avança vers Gandalf pour lui dire:

-Maitre mage, nous avons découvert des traces de bottes daans l'herbes. Elle ne datent que de quelques heures, et semblent appartenit à un Homme du Nord.

-Bien. Ca veut dire que HeimDhall ne doit pas etre loin. Suivez-moi, compagnons !

Invité

Halt se tenait en retrait du convoi.Il se situait juste devant Ellandan le fils d'Eldrond, un elfe stupide et pretentieux du gout de Halt,il avait croisé le fer avec celui-ci dans la capitale et l'avait vaincu.
D'ailleurs, son visage en attestait encore les marques. Son nez cassé était l'image meme du chaos dans le visage de l'elfe habituellement harmonieux et paisible.

Halt observait aussi Gandalf, immobile, sans reactions ni reflexes. En fait,le magicien se contentait de suivre le groupe sans de commentaires ni de reflexions.
Halt en avait longuement parlé a Radagast et le magicien lui avait dit que cela se nommait "l'inactivité",une maladie bien triste,qui envoyer un personnage directement dans les main du sénéchal noir...

Aprés un bout de voyage,un des rodeurs accompagnant la Communauté vint s'adresser au Maitre Mage Radagast

-Maitre mage, nous avons découvert des traces de bottes daans l'herbes. Elle ne datent que de quelques heures, et semblent appartenir à un Homme du Nord.

Rdagast répondit lentement après avoir prit le temps de reflechir

-Bien. Ca veut dire que HeimDhall ne doit pas etre loin. Suivez-moi, compagnons !

Halt talonna sa monture a la suite de Radagast,le convoi suivit également la tete du groupe a la recherche de HeimDall,qui selon le rodeur ne devait pas etre très loin

HeimDhall était en train de traverser les prairies presque désertes du Rohan. En effet, seule quelque rares fermes prouvaient la présence de l'homme dans ces régions. Il revenait des frontières est et sud du pays. Il y avait rassemblé des informations sur les Orques et leurs positions. Il fut ainsi étonné de voir la progression que les Orques avait effectuée. C'est alors, qu'au loin, il aperçu une tâche noire. Celle-ci se déplaçait. HeimDhall s'en approcha et c'est alors qu'il aperçut la Compagnie du Silmaril. Radagast et Halt marchaient en tête suivit de Cippora et des elfes. Puis venait Gandalf, immobile et impassible. Il s'approcha de Radagast et prit la parole :

"Ravi de revoir maître Radagast. J'ai effectué plusieurs rondes le long des frontières et j'ai put répertorié la majeur partie des positions Orques ainsi que de leurs nombres.J'espère que vous arriverai à lire car je n'écrit pas très bien."

Le rôdeurs possédait quelques bout de papier et savait lire et écrire, même s'il n'écrivait pas bien. Le mage prit le bout de parchemin et réussit à le comprendre. Pendant ce temps, HeimDhall ralentit le rythme pour retrouver la seule personne dont il ignorait l'identité. En chemin, il rencontra le fameux nain, celui d'Edoras mais il n'y fit pas attention. C'est alors qu'il arriva aux cotés de la jeune fille.

"Bonjour chère demoiselle, désolé mais je n'ai pas encore eu l'occasion de me présenter. Je suis HeimDhall, membre de cette communauté et éclaireur. Ravi de faire votre connaissance. Qu'est ce qu'une jeune demoiselle comme vous fait ici?"

Cippora se présenta à son tour puis répondit à toutes ses questions. Après une rapides discussions, les yeux du rôdeurs furent attiré par l'horizon, on aurait dit que quelque chose approchait. Il s'excusa auprès de la demoiselle de cette brusque disparition et partit aussitôt vers la tête du convoi.

" Mage, je vais faire un tour de guet. Je reviens dans quelques temps."

Invité

Cippora suivait silencieusement la Communauté, écoutant attentivement tout ce qui se passait. Elle savait être bavarde quand cela était possible, mais elle connaissait la valeur du silence, surtout lors d’une quête aussi dangereuse que celle qu’elle entreprenait, entourée de cette Communauté. Plongée dans ses pensées, elle observait la beauté du paysage, ses mains mollement posées sur les reines d’Ithil.

*Quelle beauté…*

Elle avait beau y vivre, elle ne cessait jamais de s’extasier de la magnificence des plaines du Rohan. Hormis les forêts des Elfes, elle n’avait jamais vu contrée plus splendide. L’appel de Radagast à le suivre la ramena sur terre. Elle serra doucement les talons contre les flancs d’Ithil qui releva brusquement le bout du nez pour accélérer le pas. Nul besoin d’éperons avec Ithil, à laquelle elle avait appris la sensibilité qui convient si bien à la complicité entre une monture et son cavalier. HeimDhall le Rôdeur arriva alors face à eux, parla à Radagast des patrouilles orcs puis s’approcha de Cippora.

« Bonjour chère demoiselle, désolé mais je n'ai pas encore eu l'occasion de me présenter. Je suis HeimDhall, membre de cette communauté et éclaireur. Ravi de faire votre connaissance. Qu'est ce qu'une jeune demoiselle comme vous fait ici ? »

« Bonjour, ami Rôdeur, votre absence est toute pardonnée, les informations que vous nous apportées si rapidement me semble bien cruciales. Je suis enchantée de maintenant pouvoir faire votre connaissance, HeimDhall, je suis Cippora, fille de Gildor le forgeron. J’ai suivi l’apprentissage de guerrier, avec l’aide de mon père, mon frère, Elladan et Elrohir, je suis donc ici pour vous apporter l’aide de ma lame, seigneur HeimDhall. »

Elle sourit. La politesse du Rôdeur était la bienvenue, et son brin de discussion aussi. Mais alors qu’elle pensait lui demander comment il en était venu à rejoindre cette Communauté, il avait déjà filé rejoindre le Mage Brun et partit. Elle s’approcha à son tour de Radagast, marchant à sa hauteur, et lui demanda :

« Nous sera-t-il possible d’éviter toutes les patrouilles, ou devrons-nous en traverser ? »

Radagast salua HeimDhall et entreprit de lire le parchemin que le rodeur avait ramené. Le Mage Brun fronça les sourcils, car les nouvelles n'étaient pas bonnes. Les orcs devaient forcément etre au courant du passage de la Communauté, car ils avaient fortifiés tous les passages menant aux Montagnes Blanches.

-Mes chers compagnons, ils nous faut à tout prix passer ces barrages avant la nuit. Ensuite, nous pourrons aller tout droit, en longeant els Montagnes Blanches, pour déboucher sur le fleuve Anduin. Une fois là-bas...

C'est alors que Radagast se tut brusquement, et d'un geste, il commanda aux membres de la Compagnie de se mettre à terre. Ces derniers obéirent juste à temps, car des bruits de conversation en Noir Parler se firent entendre. Bientot, deux orcs d'Angband montés sur des Wargs firent leur apparition. Ils passèrent devant la Communauté sans repérer ses membres. Radagast diospersa rapidement un sort qui boucha les nez des Wargs, les empechants de remarquer l'odeur des Compagnons.

Une fois que les créatures furent loin derrière, Radagast fut le premier à se relever, et parla rapidement:

-Halt et Cippora, partez éliminer rapidement ces deux cavaliers et leurs infames montures, car mon sort sur leur odorat ne saurait s'éterniser. Ghan-Bur-Khan, balayez le secteur avec vos fils et abattez les sentinelles isolées.

Le vieux shaman Drùedain sourit, et bientot lui et ses trois fils eurent disparus dans les broussailles. Rassuré, Radagast se tourna vers les membres restants de la Communauté:

-Elrohir, conduisez Gandalf et les mules en lieu sur, là où l'ennemi ne pourra pas les repérer.

Le seigneur elfe hésita un instand, puis partit en haussant les épaules, conduisant les mules par la bride. Gandalf resta planté comme un piquet, avant de suivre machinalement Elrohir.
Ne restaient plus que HeimDhall, Walrim et Elladan. Radagast reparti en avant, leur faisant signe de le suivre.

-Messieurs, voilà mon plan: nous allons nous emparer d'une casemate ennemie qui se trouve au sommet de cette crete. C'est elle qui bloque l'accès à notre itinéraire. J'estime que la garnison ne doit pas dépasser une vingtaine de guerriers orcs mal armés, nous arriverons à les vaincre. Etes-vous avec moi ?

Enfin, le combat approchait, même si ce n'était qu'une petite garnison. Cela faisait très longtemps qu'HeimDhall ne s'était pas battu.Si ses souvenirs sont bon, c'était en Erebor... Il oublia vite ses sombres pensées et se concentra sur le moment présent. Il sortit son épée et sa hache et se tourna vers la Casemate Orque. Elle était minuscule, sans doute construite à la hâte. Il voyait quelques Orques patrouiller devant et sur les remparts. C'est alors qu'un des Orques s'arrêta et se tourna vers le rôdeur. Soudain, des cris se firent entendre. HeimDhall ne comprenait rien et commença à courir vers eux. C'est alors qu'il stoppa net sa course, il n'était plus qu'à une trentaine de mètres de l'entrée principale, un Warg monté sortit par la porte et s'élança vers lui. Il était trop tard, si il faisait demi-tour, il se ferait tuer. Il se prépara donc à faire face, ses armes dans ses mains. Il lança se hache qui partit tout droit dans l'œil droit de la bestiole mais cela ne lui fit rien, elle fonçait droit dans sa direction. Il prit son épée à deux mains et lorsque la bête arriva, il l'esquiva puis il lui planta son épée dans le dos. La bête avançait encore et HeimDhall fut entrainer sur son dos.

"Vas tu mourir oui ou non???"

Il plantât son épée dans le cou de la bête qui tomba, morte. Dans la caserne, les Orques commencèrent à paniquer, leur meilleur défense était tombée à cause d'un seul homme. HeimDhall tua le premier garde puis il décapita le second. Il entra dans l'enceinte et tua tout ce qui se trouvait devant lui. Bientôt il se retrouva au sommet de la caserne. C'est alors qu'une lumière s'approcha de lui et lui tendit la main et dit :

" Je suis ton Dieu, tu ne pourras honoreras que moi et tu n'aura pas d'autre Dieu."

"De quoi??"

A ce moment là, il secoua la tête et revint à la réalité. Il était au sommet du donjon, la bannière de la caserne dans les mains. Il prit une torche et la brula. Puis il redescendit voir Radagast.

"Menace éliminée."

Invité

Halt obeit immédiatement a l'ordre indiscutable du Magicien,il remontit prestement sur sa monture qui commencer deja a piaffer. A croire qu'elle avait parfaitement comprit l'ordre de Radagast

*Que ferait-on pour un peu d'action ?* Demanda le nain en souriant

Il attendit que Cippora ait fini de rassembler ses affaires et il partirent tous les deux au galop,s'enfoncant dans l'épaisse foret.
Ils pisterent rapidement les orcs,il puaient tellement qu'ils trahissaient leurs moindres déplacements. Après plusieurs heure de course-poursuite fatiguante,les deux Compagnons arreterent leurs montures haletantes,Halt regarda sinistrement le ciel,un vent glacial commencait a se lever masquant en partit l'odeur de leurs ennemis

-"Je crois qu'on va devoir se séparer...l'odeur de nos ennemi se disperse et nous ferions mieux de nous séparer et de nous rendre aux derniers endroit ou il ont fait une pause. Bonne chance jeune dresseuse de chevaux"

Ils se séparerent sous la pluie qui commencé a tomber.Halt se rendit immédiatement au derniers point d'eau visité par les orcs en se demandant comment s'en sortait Cippora...

Halt se rendait au dernier point d'eau visité par les orcs, après s'etre séparé de Cippora. Tandis que la pluie commençait à diminuer en intensité, Halt pouvait apercevoir un Warg en train de s'abreuver au point d'eau. Sans doute exténué par la course que lui avait fait subir son cavalier.

Soudain, le Warg cessa de boir et se dressa, scrutant les environs, il paraissait chercher une odeur suspecte. Peut-etre celle de Halt. Mais le nain n'eut pas le temps de se le demander, car à l'instand meme quelqun lui sauta dessus. Les deux adversaires roulèrent dans l'herbe avant de parvenir au pied d'un chene isolé. Halt put alors reconnaitre en son agreseur l'un des cavaliers orcs, armé d'un sare à lame ébréchée:

-Je vais t'arracher tes petites entrailles et les offrir encore chaudes à ma monture !

Du coté de la casemate, les orcs semblaient en bien mauvaise posture. Leur Warg avait été abbatu, et HeimDhall se déchainait à présent sur la garnison. Ce fut bientot Radagast, qui balaya d'un simple sort quatres gardes ennemis et Walrim qui débarquèrent dans la cour, tandis que Elladan, de son arc agile, abbatait les quelques orcs qui essayaient de s'enfuir. La casemate fut rapidement vidée de ses défenseurs, et HeimDhall redescendit du toit en clamant:

"Menace éliminée."

Radagast, prudent, lui répondit:

-Certes, mais ne nous attardons pas trop longtemps ici. Rejoignons Elrohir et Gandalf; ils doivent avoir été rattrapés par Halt et Cippora.

C'est alors que Radagast se figea: un bruit parvenait à l'extérieur de la casemate. Le bruit d'un groupe d'une quarantaine de cavaliers...

-Vite ! Montons sur...

Mais c'était trop tard. Un cavalier Serpent de Harad franchit la porte de la casemate, et repéra les compagnons et les cadavres des orcs. Mais à peine avait-il ouvert la bouche pour donner l'alerte qu'une flèche d'Elladan se fichait dans sa gorge. Le cavalier tombait raide mort, tandis que Radagast levait son baton pour fermer la porte grace à la magie. Des cris de rages parvinret à l'extérieur. Les compagnons se retrouvaient prisonniers du fort qu'il venait de prendre.

-Tous sur les murs ! Prenez des arcs et des flèches ! Ils essayeront de s'emparer de la casemate en escaladant la palissade !

Invité

-Je vais t'arracher tes petites entrailles et les offrir encore chaudes à ma monture !

Halt ne put s'empecher de frissoner et de resserer la prise du manche de sa hache jusqu'a en faire blanchir ses jointures,il regarda autour de lui et,ne distinguant rien,chargea son ennemi en poussant le fameux cris de guerre des nains.
Un mouvement furtif attira son regard et le nain ne put éviter la fleche qui sortait des buissons. Elle se ficha dans son épaule en traversant sa cotte de maille,il recula et se servit de sa main libre pour l'arracher,lui infligeant une douleur cuisante. Aussitot cinqs orcs sortirent des buissons ou ils se tenaient auparavant en brandissant des épée recourbée et des haches au tranchant fortement aiguisé

-"Encore un piège du Senechal Noir!"

Halt put repérer le tireur embusqué en évitant de peut la deuxieme fleche qui se planta dans la terre a deux pas du nain.Il se saisit aussitot d'une de ses haches et la balanca dans l'arbre esperant toucher le tireur.Un cris confirma ses espèrances et le corps inarticulé de la créature tomba de son refuge et s'écrasa au pieds du warg.

Le warg se saisit de l'orc et commenca a machouiller le bras inerte de la créature,écoutant son estomac a la place des ordres de son chevaucheur. Halt ne perdit pas de temps et s'élanca sur les guerrier orcs malgrès sa blessure a l'épaule.Il en abbatit deux qui trop stupefait,contemplaient bétement le carnage du warg.

Le nain se jeta ensuite sur les trois autres et les tuerent comme de rien. Le warg avait fini par jetait son cavalier a terre et continuer son festin.Il renonca a tuer le warg,trop affaibli pour lui tenir tete et préfera s'éloigner en laissant la créature se repaitre

Invité

De la fenêtre d'une des hautes salles du fort Silène assistait à la bataille de la communauté du Silmaril avec étonnement, jamais elle n'avait vu de guerrier d'origines si différente se battre pour une seule et même cause et bien qu'elle les percevait comme des ennemies elle était très curieuse de savoir qui ils étaient. Elle descendit donc les escaliers et passa par la cour supérieur pour évaluer la situation, les guerriers du fort et leurs wargs avaient été tuer ou se trouver a l'extérieur du fort et sa garde ne rentrerait pas avant plusieurs heures de la mission qu'elle leur avait donner, autrement dit elle était enfermée dans un fort allier en compagnies de plus que potentiels ennemis et sans aucune protection, elle risquait fort d'être découverte et tuée. L'idée d'être tuée maintenant et dans une situation si grotesque lui était insoutenable, mais elle n'était pas sans ressources et décida de se jouer des attaquants pour s'échapper. Les bruits qui lui parvenait de dehors lui apprirent que les portes venaient de sa refermer et que les guerriers les défendaient depuis les murs .... Une onde lui parvint, indiquant qu'au moins l'un des compagnons était un mage, surement un Istari si ses sens ne la trompait pas et tres fort et ancien, elle sentit également les flames de deux elfes et les aura diffuses d'êtres moins puissants qu'elle ne pouvait identifier, elle accéléra le pas pour déboucher dans le cercle extérieur, en face des portes ; le soleil l'éblouit pendant quelques secondes mais se fut des secondes de trop, elle sentit quelque chose de chaud autour de son bras et une douleur intense ....
Elle eu soudain la vision d'un créature derrière elle et se retourna prête a y faire face ... Un warg, pas un adulte et surement sortit des cages ou il devait être enfermer, un warg qui n'était pas dresser et qui ne lui obeirait pas. Son bras portait les traces de la morsure du l'animal et du sang s'écoulait de la blessure, le warg de son coté s'apprétait a revenir a la charge, ni une ni deux Silène convoqua une rune de roc et assoma la bete avant qu'elle ne l'attaque. Une fois qu'elle fut sur que le warg n'était plus une menace elle se dépécha de rejoindre les silouettes qui se dessinaient sur le coté du mur des remparts.

# Autan les rejoindre, je n'ai gère le choix ... #

La communauté était partie... enfin. Et miraculeusement, Adrix avait réussit à rester au dehors de cette histoire ! Que les vieux et leur bandes de suicidaires se démerdent pour une fois ! Il en avait assez de prendre des risques inutiles et d'affronter des PNJ si puissants qu'il ne gagnait que grâce au fait que je joue aussi l'adversaire... Qui sait, si un jour un autre admin s'y mettait ou si simplement j'étais de mauvaise humeur il pourrait y passer ! Pas besoin de risquer ses fesses ! Et pour quoi en plus ? Retrouver une pierre magique que les magiciens refuseraient d'utiliser ? Qui allaient en hériter ? Qui allait la garder ? A tous les coups se serait pour sa pomme ces conneries... Morgoth voulait déjà sa tête planté sur un pieu, le Sénéchal Noir l'avait nommé rival contre son gré... Quel tragique destin ! Non là il rentrerait paisiblement en Arnor avec Eléonor dans ce prétendu palais... D'ailleurs il avait encore du mal à réaliser cette histoire de roi, et plus encore cette histoire de fiançailles. Il était stupéfait lorsque de parfaits inconnus le saluaient respectueusement, qu'on lui fasse des courbettes et qu'on l'appelle "majesté". La royauté n'était pas du tout un monde conçut pour lui ! Pire encore, le mariage l'était encore moins ! D'ailleurs bizarrement la petite reine semblait tout à fait d'accord avec cette idée car elle ne lui adressait magistralement pas la parole tout le long du voyage ! elle avait encore au travers de la gorge les dires de Radagast et son interdiction de les suivre !

-Dit, pourquoi tu me fais la tête comme ça ?
Elle lui lança un regard féroce, soupira, et lui arracha sa guitare des mains. Adrix n'avait pas eut le coeur de se séparer de son instrument... Il lui avait rendu tant de service !

-Je vais t'expliquer ça à ta façon...

Les doigts experts de la jeune fille commencèrent à gratter les cordes

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-Ah... ah ouai quand même. C'est violent ça

-Tout à fait, donc maintenant tais toi et marche !

-Ca pourrait faire une réplique célèbre ça tu sais...

C'est dans une bonne ambiance qu'ils conclurent les dernières miles qui les séparaient de la ville de Fornost. Grand bastion de l'Arnor, c'était aussi un important siège du pouvoir... enfin je crois... ou alors c'est Annunimas... oh et puis on s'en fou merde !
L'entrée dans la ville promettait d'être assez fabuleuse... L'arrivée des nouveaux roi et reine s'était répandue comme une traînée de poudre dans tout le pays, et tous les habitants n'attendaient que ça. L'albinos avait même repéré un lèche botte dans le lot qui montait un spectacle rien que pour ça....
Il avait pas chômé le bougre...

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-Faites place au Prince Adrix !
Quelle grâce, le Prince Adrix !

-Bande de veinards,
Dégagez le bazar.
Et vous allez voir,
C' que vous allez voir
Venez applaudir, acclamer la Superstar !

Depuis le haut de sa modeste monture, le torse du concerné se bomba de fierté

-Fêtez ce grand jour,
Clochettes et tambours,
Venez adorer l'idole !

Eléonor fit de même, persuadée qu'on parlait d'elle

-Prince Adrix, Sa Seigneurie,
Adri Ababwa.
A genoux, prosternez-vous,
Soyez ravis !

*Ah ouai carrément !*

Grosse claque pour la princesse, c'est moi qui vous le dit

-Pas de panique, on se calme !
Criez vive Adrix, Salam !
Venez voir le plus beau spectacle d'Arabie.
Prince Adrix, plus fort que lui,
Je n'en connais pas.
Qui vous portent d'Abu Dhabi,
A bout de bras.
Il a vaincu une armée,
Tout seul avec son épée !

*Ils parlent du Sénéchal sans doute...*

La terreur des ennemis, c'est

-Prince Adrix !
Il a cent trois chameaux et chamelles...

-Sont-ils pas mignons, Simone ?

-Des caravanes de paons, dix par van...

-Tout à fait Thierry, j'adore leurs plumes !
Des gorilles qu'ils protègent de leurs ailes.
Ce zoo est un souk,
Corne de bouc !
C'est une super ménagerie !
Prince Adrix, oui c'est bien lui,
Adri Ababwa !
Quel physique, c'est magnifique,
Il est charmant.

Adrix faisait le beau, heureux comme un paon, mais sa "fiancée", l'attrapa par l'oreille

-N'en profite pas pour faire le joli coeur toi !

-Il y a du monde au balcon
Moi, j'ai du voile au menton.
Et tout le monde s'évanouit pour Prince Adrix.

-Venez voir ses deux cents singes persans.
C'est brillant, et pourtant, c'est gratuit.

-Ils parlent de toi... macaque

L'albinos balançait des pièces d'or

-MON OR ! ABRUTI !

-Serviteurs et esclaves travaillent pour lui,
Fiers de le servir, c'est le plus grand,
On lui obéit, et chacun donnerait sa vie,
Pour Adrix... Vive Adrix !

-Prince Adrix, oui c'est bien lui,
Adri Ababwa, est ici, pour votre fille,
Si jolie.
Voilà pourquoi, en cortège,
Cet amoureux vous assiège.

-Non mais la fille je l'ai déjà ça va

-Avec trente éléphants, qui jouent les acrobates,
Des ours et puis des lions, au son du clairon.
Ses quarante fakirs, sa batterie de chefs,
Ses oiseaux qui crient.
Faites place, au Prince Adrix !

Fin du spectacle... j'ai passé un temps monstre à coder tout ça vous imaginez pas ! Enfin si sans doute... Vous n'êtes pas des lecteurs idiots après tout... sauf toi Radagast.

-Ils en font un poil trop non ?

-Juste un poil... Monsieur la "SuperStar"

-Mais j'y peux rien moi !

-Bon va t'installer moi j'y vais !

La princesse disparut dans les couloirs de la cité forteresse. Elle était chez elle après tout, elle connaissait les lieux, et elle mourrait d'envie de se délasser dans un bon bain bien chaud... Elle rentra dans l'immense salle de bain de marbre blanc qui lui était reservée, posta deux gardes à la porte et commença à se déshabiller avant de rentrer dans l'eau. Toute la pièce était emplie d'une brume épaisse, mélange de vapeur d'eau et de bâtonnets proches de l'encens... ca cocotait le parfum même.
Et l'idiot que fait-il pendant ce temps là ? Eh bien il vient tout juste de déposer ses valises dans une pièce et cherche à son tour un endroit où se décrasser un peu. Non pas qu'il aime se laver, mais depuis son combat, il puait si fort le bouc que sa propre odeur le gênait. Il demanda son chemin à un brave homme qui lui indiqua la gauche, niais, il prit à droite...
Les deux mecs postés par Eléonor s'ennuyaient royalement... Rien à faire... qui serait assez stupide pour tenter de pénétrer dans le bain de la Reine ? Personne n'était bête à ce point et pas un assassin ne serait capable de rentrer dans la cité en état de guerre. C'était juste de la paranoïa de princesse...

-Thierry, on va boire un verre ?

-Ouai ! On serra revenu avant qu'elle ait finit de toute façon

Une silhouette apparut alors qu'eux partaient.

-Ah, ça doit être là ! J'entends un bruit d'eau !

En short style moyen age et seulement une serviette de bain sur l'épaule, le jeune albinos entra dans la salle.

*On n'y voit rien ici !*

Il y avait tellement de brume qu'il eut peine à trouver le bassin pourtant juste sous son nez... Il entra dans l'eau, poussa un soupir d'aise lorsqu'il fut bien installé... Quelques minutes s'écoulèrent ainsi, jusqu'à ce qu'il commence à explorer les lieux... C'était plus une piscine qu'une baignoire en fait, et on pouvait sans problème faire plusieurs brasses sans en voir le bout. Eléonor avait des goûts de luxe pour sa toilette... Adrix tâtait le rebord, pour éviter de se perdre, jusqu'à ce que ses mains touchent autre chose, de moins froid que le marbre

*Tiens c'est quoi ça ?*

Il tata un peu, pressant ce truc étrange...

*C'est mou, c'est assez chaud... Rah foutu brume !*

Il écarta la fumée en brassant l'air de sa main libre. Il put enfin y voir un peu plus clair... assez en tout cas pour voir que c'était Eléonor qui se trouvait juste devant lui. choquée, pivoine, elle se contentait de fixer cette main baladeuse d'un air outrée...

-O.O" La boulette....

Ses yeux suivirent le bras du regard jusqu'à remonter au propriétaire... Son identité lui donna des envies de meurtre... On aurait dit un démon. Aux yeux d'Adrix, le Sénéchal Noir avait l'air d'un enfant de cœur en comparaison, il crut même voir des flammes dans le dos de la princesse.

-Toi.... tu...

-Non non non non non ! Pitié ! J'ai pas fais exprès ! C'est pas ce que tu crois ! Pas bobo ! Pas taper

-Tu es un homme mort...

-Mais mais mais... mais on est fiancé après tout non ?!

-RIEN A FOUTRE !

OMEGA SBAM (encore mieux que le SBAM habituel !)
Et voici comment les gardes rentrant de leur pause purent assister à un bien étrange spectacle. Un albinos en calecon qui quittait la salle de bain en volant comme un oiseau, avant de traverser la fenêtre juste en face et de continuer son vol plané jusqu'à n'être plus qu'un petit point dans le lointain. Il avait une marque si rouge si la joue qu'ils le prirent pour une tomate...
Juste derrière, suivit la princesse Eléonor, enragée, dans une drôle de tenue qui sortait comme pour vérifier qu'elle avait frappé assez fort... Elle remarqua les gardes, à qui un peu de sang coulait de la narine...

-VOUS DEUX ! VOUS OUBLIEZ ! COMPRIS ?!

-Ou... oui madame

Morgoth était-il se effrayant que ça au fond ?
Retour sur Adrix, direction les nuages

-Je voooleeeee ! Encore une fois... A force ça deviendrait presque lassant... Bon pour le moment ça va , c'est l'atterrissage qui va encore être douloureux... Je vais peut être tomber sur de la flotte, ou n'importe quoi d'autres...

Alors qu'il retombait, il put voir une plaine herbeuse qui s'étendait à des miles à la ronde

-Ah oui... forcément...

CRASH [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]

Il resta là, immobile, pendant plusieurs heures, songeant à l'aspect manga de cette scène complètement hors sujet dans le monde du seigneur des anneaux... Il finit par se relever, se frottant l'arrière de la tête

-L'herbe est moins dure que le pavé... je note

Il avait atterrit à plusieurs heures de marche de la ville... A moitié nu, il débuta alors le long trajet de retour... C'est dingue comme on peut se sentir seul dans ces moments tout de même... Au final, Eléonor n'était pas plus dangereuse que cette Communauté ? Après mûre réflexion... probablement... Dés son arrivée il irait rejoins le vieux, ce ne serait pas pire qu'ici...
Il fit part de son projet à Eleonor dans la soirée, elle préférait éviter de parler de l'incident, et l'avait frappé à plusieurs reprises dans la journée sans raison apparente, juste comme ça pour le fun... Quel ne fut sa surprise d'apprendre qu'elle voulait faire de même ! Et que forcément elle l'embarquait avec sans lui laisser le choix ! C'était un vrai kidnapping en fait ! Car une fois la nuit tombée, elle l'attrapa par la peau du cou, sauta par une fenêtre et partit en galop rejoindre cette communauté de [censuré]... Cruel destin pour un aussi jeune homme... Vu le rythme auxquels ils avançaient, ce ne fut pas dur de les retrouver d'ailleurs... Je passerais les détails sur les incohérences de temps de voyage effectué dans ce poste si vous le voulez bien ! Les deux 'enfants" les suivaient de loin, cachés... invisibles... mais étaient-ils vraiment seuls ?

Invité

La communauté du silmaril s'était réfugié sur les palissades de la casemates afin de contrer aux mieux la vengeance ennemis.Les sous fifres de morgoth bandèrent leurs arc , tandis que les autres montèrent sur l'étroite muraille et certains , essayèrent une escalade ''surprise'' pour encercler le groupe.

Dans le faible espace que donné la palissade les guerriers eurent du mal a dégainer.Mais Walrim deja haches en mains chargea dans trois épéistes.Il percuta le premier se renversant sur son compagnon d'armes dont le nains fit voler la cervelle.Le derniers dégaina et fit un coup d'estoc de sa rapière effleurant le bras du court sur pattes , laissant ainsi au soldat comme dernières image avant d'aller rejoindre les autres par un décapitement en règles en duo de haches, un court giclement de sang.

Alors que les flèches fusait , walrim prit le corps d'un macabé pour le balancer sur ses complices qui montait tant bien que mal les escaliers.

BWahahahahah mangez vous sa !

Dans un élan de crétinisme absolu il sauta de la palissade en direction d'environ une douzaine d'haradrim , écrasant un malheureux de tout son poids le nain para d'une vitesse fulgurante la lame ébréché d'un homme de l'ouest.Walrim se remit sur pied et dans un eclair de mouvement il fit plusieurs tours a 360° sur lui même.

Wizzzzzzzzzzzzzzz la toupie

Dans une tornade de sang il ôta la vie de huit autre malheureux soldats avant de gerber pour finalement s'évanouir.

Le combat faisait rage dans tous les coins de la caserne orque, du moins de l'ancienne et peut être aussi la future. Les Haradrims avaient réussi à défoncer la portes et ils commençaient à emprunter les escaliers menant au sommet de la palissade. Alors que Walrim défonçait à peu près tout, HeimDhall tentait désespérément de se débarrasser de deux énormes Haradrims armés de cimeterres. Le combat était rude mais lorsqu'il parvint enfin à éliminer le premier, le second ne tarda pas à être envahit par la peur ce qui affaiblit ses capacités au combat. Le rôdeur profita de cette baisse de niveau de la part de son adversaire pour le tuer le plus vite possible. Après avoir enfin terminer avec ces deux individus, il courra le long du rempart afin d'aider les deux frères elfes. Parvenu à son objectif, il se dirigea droit vers Radagast afin de l'aider mais il n'y parvint pas. En effet, quelques Haradrims l'avaient vu tuer leurs deux frères et ils voulaient se venger. Encore une fois, il dut engager le combat et encore une fois, il parvint à se débarrasser de ses adversaires. Sauf que à force de se battre, il commençait à fatiguer et apparemment beaucoup de monde l'avait remarqué. Mais heureusement pour lui, les Haradrims prirent la fuite et abandonnèrent les lieux le plus vite possible.

" Enfin un peu de repos, j'en ai bien besoin. "

Mais alors qu'il se reposait au soleil, une ombre le lui cacha. Il ouvrit les yeux et découvrit une personne inconnue. Celle-ci avançait vers Radagast mais il s'en contreficha totalement, après avoir finit de se reposer, il reprit ses affaires et s'en alla pour faire la démarche quotidienne avec Radagast : Je vais éclairer les environs je reviens!! Puis il s'en allait le plus vite possible avant d'entendre le mage crier : REVIENS ICI SALE RÔDEUR!!!!!!!!! C'est très dangereux un mage en colère alors il faut parfois se faire un petit sprint d'environ deux kilomètres ( afin d'être hors de porté bien sur ) avant qu'il ne vous lâche. Ensuite on peut faire ce qu'on veut.

Les haradrims avaient lancé l'assaut sur la casemate, mais ils commençaient à s'y casser les dents. Ces cavaliers serpents étaient habituées aux charges héroiques dans els plaines, non à des sièges improvisés. Mais leur chef s'obstinait, arguant leur nombre pour inciter ses soldats à repartir à l'assaut. Il faut dire que la petite casemate était défendue avec férocité par les membres de la Communauté du Silmaril. Depuis sa tour, Elladan continuait de mitrailler les haradrims, faisant mouche à chaque coup, tandis que Radagast défendait la porte grace à ses sorts, et que Walrim causait de nombreuses pertes dans les rangs des asiégeants.

C'est alors que le chef haradrim vit arriver une femme en tenue chamarrée, portant l'étendard des Ténèbres. Mais qu'est-ce qu'elle faisait là, elle ? Sans doute une représentante de Morgoth. L'homme en était étonné, car il était très rare que le Seigneur des Ténèbres emploie des femmes à son service. Pourtant, il laissa de coté la différence de sexe pour demander à Silène avec un fort accent du Sud:

-Ma dame, vous m'avez l'air de connaitre quelque-chose à la diplomatie. Dites donc à ces imbéciles de se rendre et de nous dire ou sont leurs compagnons, car il s'agit de leur seule chance de survie.

Au meme instand, quatres haradrims armés de cimeterres se jetèrent sur Walrim évanoui, pret à l'égorger pour venger leurs camarades.

-Nonn !

Radagast leva son baton, et les quatres hommes furent projetés violemment en arrière tandis que le corps de Walrim s'élevait dans les airs et, à l'étonnement des haradrims, regagnait la caserne. Le Mage Brun se saisit du malheureux nain, et le confia à Elladan en ajoutant:

-Mettez-le à l'abri dans les dortoirs. Vite, car nous avons besoin de vous !

Malgré sa répugnance évidente à l'égard du nain, le seigneur elfe obéit et disparut dans les couloirs, portant Walrim avec lui. Lors du dernier regard que Radagast posa sur Ellada, l'elfe paraissait essouflé à force de porter Walrim. C'est que ça pèse, un nain amateur de bière !

De son coté, le Mage Brun choisit de rejoindre la défense des murs. En son abscence, nombre d'ennemis avaient réussi à passer la palissade et envahissaient la cour de la casemate. Radagast se maudit pour sa négligence, et tenta de repousser ces adversaires vite fait bien fait. Un éclair magique tua net deux lanciers haradrims, tandis que Radagast perçait un quatrième guerrier de son épée. Les autres préférèrent reculer devant ce mage en colère, et leur regard était porté par la peur. Radagast les poursuivit sur la palissade, et croisa HeimDhall qui lui parlait d'explorer à nouveau les environs. En pleine bataille ? Radagast començait à soupçonner HeimDhall de lacheté. C'est pourquoi, tout en tuant un haradrim qui avait atteint le sommet de son échelle, il cria à l'adresse d'HeimDhall:

-Reviens ici, sale Rodeur !

Déjà le Mage Brun s'en voulait pour ses propos. En effet, le "sale Rodeur" avait pour certain une connotation rasciste à l'égard de ce peuple errant. Quoi qu'il en soit, Radagast n'avait pas le temps de penser à cela, car il était désormais le seul défenseurs des murs.

De leur coté, Eléonor et Adrix continuaient à suivre pas-à-pas la Communauté du Silmaril sans etre repérés par les orcs. En effet, les Drùedains avaient bien fait leur travail, et la plupart des sentinelles étaient abbatues. C'est alors qu'un raton laveur sortit soudainement du sac de Adrix en grignotant cookiee. Il s'agissait bien évidemment de Rodeur, l'animal de Radagast qui ne quittait plus Adrix depuis quelques temps. Mais à en déduire le ventre qu'avait pris Rodeur et le faible poid du sac maintenant qu'il en étit sorti, le raton laveur avait dévoré toutes les réserves de nourriture des jeunes enfants. Comble de l'ironie, Rodeur lacha un petit rot, tout en regardant Adrix avec un sourire.

Cependant, Eléonor et Adrix pouvaient apercevoir, à quelques pas d'eux seulement, tout un cortège de chevaux et de mules, portant des bagages. IL était conduit par Elrohir, le frère d'Elladan et le membre de la Communauté du Silmaril. Radagast lui avait demandé de mettre les mules en sécurité, mais le seigneur elfe s'évertuait encore à trouver un abri valable dans ces plaines d'herbes et de rochers. Derrière lui marchait tel un zombie, relié à la dernière des mues par une laisse, Gandalf le Magicien Blanc, l'inactif promi à un triste destin. Gandalf aperçu Eléonor, et la regarda avec un visage totalement inexpressif avant de se retourner. Il ne pouvait meme plus parler !

Quoi qu'il en soit, Eléonor et Adrix se retrouvaient face à un dilemne: soit ils devaient rejoindre la Communauté pour manger assez, et donc révéler leur présence, soit il se verraient forcés de s'entredévorer lorsqu'ils auraient à nouveau faim...

HRP: Halt, je savais pas trop quoi faire à ton personnage, comme Cippora est absente. Soit tu peux te joindre à Adrix and co, soit tu rejoins la casemate, au choix Wink

Invité

"Ma dame, vous m'avez l'air de connaitre quelque-chose à la diplomatie. Dites donc à ces imbéciles de se rendre et de nous dire ou sont leurs compagnons, car il s'agit de leur seule chance de survie."

De quel droit ce rustre s'adressait il a elle sur ce ton ? Elle était le porte étendard d'Angband, elle était la servante du seigneur de Dol Guldur et une dame des ténèbres, la dernière numenoréènne noire de pure souche! Ce soldat n'avait aucun droit de s'adressait à elle ainsi !
Silène le fixa droit dans les yeux avant de lui répondre sèchement :

"Il semblerait en effet que la situation de soit pas brillante Capitaine mais cela ne vous donne pas le droit de me parler comme vous le feriez avec un subordonné, je suis Silène la voix d'Angband et a partir de maintenant vous devrez m'obéir, restez ici et attendez que je règle le conflit ... "

Être au commande la rassura un peu et elle s'avança vers les combattants, levant la main elle utilisa une rune lier au vent pour stopper les guerrier haradrims et elle cria :

"Guerrier des peuples libres je vous en prie cessez de vous battre ! Je suis une diplomate et je souhaiterai vous parlez, permettez moi d'entrer je vous en prie ... !"

Cherchant mentalement le source du pouvoir qu'elle ressentait elle s'y adressa mentalement : # Père istar je suis au service d'un détenteur du pouvoir, je doit vous parler de toute urgence je vous en prie écouter moi c'est votre seule chance de faire cesser se combat et de repartir à la recherche de votre but, du silmaril ....#

La jeune femme soupira et porta son regard sur les murs du fort, sur les yeux du seigneur elfe et le scintillement des armures et finalement vers le ciel, elle attendait le réponses des combattants.

Invité

A présent,Halt tentait vainement de contenir l'épais flot de sang qui se deversait de son épaule. Il avait déchiré un bout de sa cape de voyage et l'avait enroulé autour de la plaie,esperant empecher la perte de sang trop rapidement.

Il avait decidé de demander des soin a Radagast car il n'en avait plus pour longtemps,le nain s'etonna meme de sa victoire contre les orcs avec un telle blessure

-"Surement l'adrenaline" pensa le nain

Il avait rapidement retrouver son cheval qui brouter l'herbe a cent pas du champ de bataille. Maintenant il devait rejoindre le magicien au plus vite...

Arrivé a l'endroit ou le nain et Cippora s'étaient quitté,il tourna la tete vers l'endroit prise par la jeune dresseuse de chevaux et murmura

-"Bonne chance,j'espere un jour te retrouver en vie..."

Il ne pouvait se permettre de l'attendre a cause du sang qui ne cesser d'imbibé le tissu de sa cape. Il fit volte-face et repartit au galop a la casemate.

Halt avait decidé de laisser son cheval en arriere et s'était approché sans bruit deriere les lignes ennemi,il tendit l'oreille quand Silene s'adressa a ses compagnons

"Guerrier des peuples libres je vous en prie cessez de vous battre ! Je suis une diplomate et je souhaiterai vous parlez, permettez moi d'entrer je vous en prie ... !"

Halt était sceptique,il pouvait facilment prendre a dépourvu les haradrims,causant un carnage malgrès son bras,ou il pouvait tous simplemement attendre la fin de l'échange pour aller querir Radagast.
C'est sur la deuxiement option que Halt pencha.Sa blessure pouvait attendre,non devait attendre...

Radagast continuait à repousser les assauts des haradrims quand soudain, le flot d'ennemis cessa. Les cavaliers serpents avaient abandonnés l'assaut et s'étaient rassemblés au pied de la caserne. Le Mage Brun put noter que ses adversaires étaient nettement moin nombreux: la moitié de ces cavaliers étaient tombés pendant l'attaque, car ils n'étaient pas préparés à de tels sièges. Ils s'étaient rassemblés autour d'une jeune femme aux cheveux rouges sang, qui portait le sinistre étendard d'Angband. Cette dernière parla avec une autorité qui surprit jusqu'à Radagast:

"Guerrier des peuples libres je vous en prie cessez de vous battre ! Je suis une diplomate et je souhaiterai vous parlez, permettez moi d'entrer je vous en prie ... !"

Ainsi, elle proposait aux membres de la Communauté d'abandonner une bataille perdue d'avance et de rendre leurs armes aux guerriers des Ténèbres. Radagast hésita un court instand, car il était désormais le seul défenseur des murs, sachant que Elladan avait emmené Walrim blessé et que ce lache de HeimDhall avait déserté. Mais c'est alors qu'une autre voix sournoise parvint à son esprit:

# Père istar je suis au service d'un détenteur du pouvoir, je doit vous parler de toute urgence je vous en prie écouter moi c'est votre seule chance de faire cesser se combat et de repartir à la recherche de votre but, du silmaril ....#

Le Mage Brun restait sidéré. Comment cette jeune porte-étendard pouvait maitriser l'art de la télépathie, secret gardé des Magiciens depuis toujours ? Qui plus est, elle devait etre bien renseignée pour avoir reconnu Radagast le Mage Brun. Quoi qu'il en soit, ce dernier était à présent disposer à tenter de négocier avec elle.

-Soit, Dame Noire, vous pouvez entrer. Mais vous seule, j'y insiste !

En effet, Elladan était revenu et de son arc habile, il guettait tout haradrim qui oserait passer la poterne. Cette dernière s'était ouverte par la magie de Radagast, laissant Silène rentrer. Toutefois, le Mage précisa à la diplomate:

*Sachez qu'en aucun cas moi et les miens ne mouront esclave aux pieds d'Angband !*

Non loin de là, deux cavaliers serpents haradrims s'étaient éloignés du gros de la troupe sur ordre de leur capitaine. Ce dernier tenait à profiter des négociations pour retrouver les autres membres de la Communauté du Silmaril, et à les éliminer discrètement. Peu lui importait les ordres de cette petite pimbache montée en grade, lui tenait à en finir au plus vite !

C'est alors que les cavaliers, qui discutaient jusque-là tranquillement de choses anodines, aperçurent Halt le nain qui s'approchait dangereusement de la casemate. Les deux profitèrent de l'effet de surprse pour charger Halt, et l'un d'entre eux cria en dégainant son sabre:

-Alerte ! Un n...

Le haradrim n'avait pas finis sa phrase qu'une fléchette perçait sa gorge, et le fit tomber de cheval dans une mare de sang. L'autre cavalier n'eut pas le temps de réagir que d'autres fléchettes, dans un bruissement presque inaudible, surgirent de nulle part pour le blesser à la jambe et à l'aine. Son cheval fut blessé à mort et s'écroula dans la poussière. Presque aussitot sortirent des rochers quatres petits humains agiles: Ghan-Bur-Khan, le chef Drùedain, et ses trois fils, que Radagast avait envoyés en éclaireurs. L'un des fils parla à Halt, tandis que son père achevait sans un bruit le cavalier haradrim blessé et qu'un autre conduisait en sécurité le cheval survivant:

-Toutes les sentinelles orques du secteur ont été abattues, Maitre Halt. Nous devrions rejoindre ce grand tipi de bois pour aider le Mage, car je n'ai aucune confiance en ces Hommes Noirs, qui ne respecteront aucune treve...

Que se passait-il du coté de Adrix et d'Eléonor ? Les deux compagnons étaient occupés à marcher quand un bruit sourd parvint du sac de Adrix. Bientot en sauta le raton laveur Rodeur, qui tenait toujours à ses mains les restes d'un sandwich au saucisson. Tout d'un coup, le sac apparut plus léger: l'animal fureteur avait dévoré toutes les réserves de nourriture des enfants ! Heureusement, il semblait que la chance soit avec eux: à quelques pas seulement, réfugiés derrière de lourds rochers, avançaient les mules de la Communauté, qui portaient des vivres et tout l'équipement de l'expédition. Ils étaient menés par le seigneur elfe Elrohir d'Imladris, oncle d'Eléonor, que Radagast avait chargé de cette mission. Derrière les mules marchait d'un pas robotique, le regard totalement inexpressif tourné droit devant, Gandalf le Magicien, l'Inactif de service...

Invité

-Toutes les sentinelles orques du secteur ont été abattues, Maitre Halt. Nous devrions rejoindre ce grand tipi de bois pour aider le Mage, car je n'ai aucune confiance en ces Hommes Noirs, qui ne respecteront aucune treve...

Halt soupira d'aise et s'adressa au rodeur d'une voix faible

-Félicitation maitre Rodeur. A present,vous reste-il quelques feuille d'Athélas pour mon épaule...

Le reste des cavaliers serpent s'organisaient,c'était visible. Le capitaine semblait exciter ses soldats pour les pousser a attaquer une nouvelle fois la casemate. Il n'y avait pas que Halt qui semblait avoir remarqué la strategie des serviteurs du mal, Ghan-Bur-Khan s'était silencieusement glissé a ses cotés et se préparait a bander son arc
Halt lui agrippa le bras du Dunedain l'empechant ainsi a commetre une terrible erreurs. Le visage du chef des dunedain est déformé par la rage. Halt lui chuchota dans l'oreille

-Ne laisse pas tes sentiments nous mettrent en danger inutilement...

Une fois la blessure de Halt soigné et pansé, il entreprit de surveiller l'ennemi...

Invité

Silène s'avança vers le fort et entra, a pas mesurés et le plus calmement possible. Elle jeta rapidement un coup d'œil sur l'intérieur du fort et remarqua qu'en dehors du mage seul un elfe se trouvait dans la cour intérieur. Elle s'inclina gracieusement devant L'istar et pris la parole :

" Seigneur Radagast je suis heureuse que vous soyez prêt à m'écouter, il m'aurai était extrèmement désagréable que ces brutes de harad vous fassent du mal, je ne suis point votre ennemie croyez moi, j'ai d'autre soucis actuellement et a vrai dire mon maitre est asses curieux de voir si vous réussirait a retrouver le Silmaril et son possesseur ..."

Elle sourit, tentant de paraitre douce et convaincante; dans le même temps elle senti que quelque chose n'allait pas du coter des Haradrims. Elle réprima son irritation et se reconcentra sur ses vis-à-vis. Elle savait que ni l'un ni l'autre ne lui fesai confiance cependant il fallait qu'elle arrive à les faire quitter le champ de bataille le plus vite possible.

" Écoutez moi il se peut que vous soyer vainqueur de se combat mais vous avez déjà perdu un temps précieux, votre objectif n'est t-il pas plus important que cette bataille ? Vous devez partir, et dès que possible."

Silène était très curieuse, son maitre lui avait dit que le mage brun n'était pas un combattant et pourtant il avait tenu les force des Suderons en respect pendant toute la batailles, il semblait bien décider à protéger les mortels qui l'accompagnait. De plus elle avait des ordres concernant les groupes, son seigneur pensait que la pierre avait le pouvoir de vaincre le Sénéchal noir. Elle n'avait personnellement rien contre lui, elle ne l'avait jamais vu, mais se que le roi de Dol Guldur souhaitait lui tenait lieu de loi, elle se devait de tout faire pour obtenir la réussite de ses plans; néanmoins, elle était au service de Morgoth à présent et elle devait aussi agir en tant que tel...

Elle s'apprêtait à reprendre la parole lorsque l'une des ses sentinelles l'alerta que du sang neuf venait d'être versé a l'extérieur des murs, ainsi on trahissait ses ordres ! Ses misérables allaient le regrétai amèrement, elle ne tolèrerait pas un tel comportement ! Elle fit mentalement appel a sa garde personnel, qui par chance se trouvait dans son rayon d'action. Une fois que le capitaine lui assura que ses troupes serai la très bientôt elle annonça à haute voix :

" Il y a un contretemps je le craint, ses barbares de Harad vont me trahir si ce n'est pas déjà fait ! Si vous êtes d'accord je vous montrerai le chemins pour nous enfuir, mes gardes serons la dans quelques minutes pour retenir les cavaliers, nous devrions êtres hors de porté très rapidement. Acceptez vous ?"

Silène ne pouvait être plus direct et sincère, elle planta son regard dans celui de l'Istar et attendit sa réponse ...

Alors que la garde arrivait près de l'entrée de la casemate, les Haradhrims commençaient à s'exciter et leurs chevaux bougeaient dans tous les sens. Deux de leurs hommes avaient été envoyé pour tuer les autres membres mais ils ne donnaient désormais plus aucun signe de vie. Au moment où le premier des cavaliers dégaina son cimeterre et qu'il avançait vers l'entrée, un guerrier sauta du haut de la tourelle surveillant l'entrée et il tomba sur le cavalier puis le tua. Il se tourna alors vers le reste de la troupe et prit ses plus fidèles armes : son épée et sa hache. Il regardait les Haradhrims droit dans les yeux ( ce qui est difficile vu que lui n'en a que deux et que ses ennemis sont plus nombreux que lui). Il entreprit donc une action tout aussi folle que courageuse : éliminer ses ennemis le plus vite possible avant de se faire éliminer à son tour. il courut droit vers le capitaine et au dernier moment il sauta aussi haut que Léonidas voulant tuer Xerxès dans 300 afin de lui planter sa hache en pleine tête. Il s'attaqua le plus vite possible au autres. Ceux ci étaient terrifiés et tentaient de se débarrasser du rôdeur. HeimDhall était entré dans la celtica furaxa autrement dit la fureur celtique : il donnait des coups dans tous les sens, décapité, transpercé et massacré ses ennemis. Lorsqu'il furent tous mort, il récupéra ses armes et les rangea puis il se tourna vers la garde qui s'était arrêtés sous la porte afin de voir le spectacle.

" Bon eh ben je crois que j'ai finit mon boulot pour aujourd'hui."

Il rentra dans le fortin en passant à coté de " la garde ". Il reconnut alors de la même fille que tout à l'heure en train de discuter avec le mage Radagast.

" Y a plus personne dehors, les Haradhrims sont tous mort. On a plus rien à craindre."

Sur ces paroles très réconfortantes, il s'en alla et regagna sa tourelle d'où il pouvait admirer son travail.

" Je ferai mieux la prochaine fois..."

Silène avait pénétré à l'intérieur de la casemate et avait été reçue par Radagast. Tandis que Elladan montait la garde sur la palissade.

" Écoutez moi il se peut que vous soyer vainqueur de se combat mais vous avez déjà perdu un temps précieux, votre objectif n'est t-il pas plus important que cette bataille ? Vous devez partir, et dès que possible."

" Il y a un contretemps je le craint, ses barbares de Harad vont me trahir si ce n'est pas déjà fait ! Si vous êtes d'accord je vous montrerai le chemins pour nous enfuir, mes gardes serons la dans quelques minutes pour retenir les cavaliers, nous devrions êtres hors de porté très rapidement. Acceptez vous ?"

C'était là une occasion unique qui se présentait à radagast. Grace au soutien de cette Silène, les membres de la Communauté pourraient se faufiler entre les défenses ennemies pour parvenir au plus vite sur les rives de l'Anduin. Mais malgré" cela, le Mage Brun n'était pas en confiance.

-Certes, votre offre est intéressante, car la Communauté pourrait poursuivre son voyage sans encombre. Mais pourquoi mes compagnons et moi devrions-nous vous croire ? Vous prétendez vouloir protéger notre quete, mais vous portez l'étendard d'Angband et commandez à une troupe de cavaliers serpents.. Pourquoi vous ne nous mèneriez pas dans un piège mortel ? Et pourquoi votre mystérieux maitre ne serait pas le Sénéchal Noir, notre ennemi juré ? Comprenez, Silène, que, alors qu'une mission vitale pour la survie des Peuples Libres m'a été chargée, je me dois de rester quelque peu méfiant...

Radagast avait parlé sincèrement. Il commençait à croire en la sincérité de Silène, mais ne pouvait se permettre de lancer la Communauté dans cette aventure sans réfléchir. Il lui faudrait une sorte de "garantie" de la part de la jeune femme.

De son coté, HeimDhall, atteint d'une crise de grobilisme, avait exterminé tous les cavaliers serpents qui assiégeaient la casemate. Toutefois, il avait été aidé par Ghan-Bur-Khan et ses fils qui, dissimulés derrière des rochers, harcelaient oles cavaliers de leurs sarbacanes. Tandis que le rodeur rentrait à l'intérieur de la casemate pour annoncer à radagast que l'ennemi avait été vaincu, les Drùedains restaient à leur poste, scrutant avec vigilance l'horizon.

Le Mage Brun répondit à HeimDhall le berserk, qui annonçait sa victoire:

-Vous avez fait du bon travail, Hodin HeuimDhall. Mais pendant que je négocie avec cette émissaire, portez-vous au cheevet de Walrim, notre camarade: Elladan l'a récupéré tout à l'heure dans un piètre état...

Invité

La méfiance ... Elle était leur principal atout et leur faiblesse, cela risquait d'être leur perte mais elle se devait de les convaincre même si cela signifiait révéler plus de secret que nécessaire. Silène savait que si elle se méprenait sur l'apparente sincérité du mage se serai la fin de leur efforts. Apres le départ du rôdeur elle planta ses yeux dans ceux de l'istar et reprit la parole :

" Maître Radagast je sait qu'il est dure de faire confiance à un ennemi, après tout il est vrai que je suis au service d'Angband, mais mon maître n'est pas le sénéchal, je ne l'ai encore jamais vu en vérité. Je ... Je suis au service de "celui que vous connaissais malgré les apparences", se sont les thermes qu'il a lui même utiliser et il à également dit que vous sauriez ce que cela voulait dire si vous étiez bien le même qu'auparavant et si je pourrai rajouté quelque chose je dirai que c'est ceci ..."

Silène sortie de sa poche un petit anneau noir et le présenta au mage dans à pomme ouverte, elle espérai qu'il ne lui poserai plus de question à se sujet car elle avait déjà outrepasser les limites de la discrétion que sa place lui imposer. Elle sourit et continua sans attendre :

" Vous savez maître, si je voulait vraiment vous arrêtez je pourrai le faire tout de suite et sans faute, mes troupes sont à moins de quelque dizaine de mètres , et je ne parle pas de cavaliers de harad, et je ne suis pas sans défense moi même. Même alors que nous discutons ici je peut sentir l'énergie vital de vos compagnons et leur positions actuel.Mais heureusement se n'est pas mon but, je ne cherche qu'à vous aider.Bien sur vous pourriez vous en sortir sans moi mais ne pensez vous pas que vous vous sauveriez du temps et des vies si vous choisissez de me faire confiance ? Alors même que nous parlons de grands plans de batailles prennent formes dans les enfers de fer et les plus puissants capitaines du chaos se préparent à se battrent une fois de plus au nom de Morgoth, ils répandrons très bientôt mort et désespoir sur les peuples libres que vous chérissez tellement ! Vous savez quel sera le sort de se monde si vous ne réussissez pas, la nuit éternelle et la fin de tout espoir ..."

Son regard se fit de glace, elle savait qu'il était conscient des enjeux de leur quête mais elle espérai qu'il comprendrai le sens de ses paroles car si ce n'était pas le cas elle serai forcée de les combattrent...

Invité

A present que les cavaliers Harad baignaient dans leurs sang, le visage contre terre, Halt put respirer plus facilement. Ayant lancé ses haches sur bon nombres de cavalier, Halt, accompagné de Ghan-Bur-Khan, sortirent des rochers ou ils étaient tapis et rejoinrent la Casemate a pas lents.

Elladan leurs ouvrirent la porte et la petite troupe envahit la court pour aller faire "je ne sais quoi". Halt quand a lui, rejoigna prudemment Radagast et la porte-étendard d'Angbang. Son antiphatie était telle qu'il se joignit a la conversation sa hache dans la main, pret a décapiter la téte du serviteur de Morghot.

-" Vous savez maître, si je voulait vraiment vous arrêtez je pourrai le faire tout de suite et sans faute, mes troupes sont à moins de quelque dizaine de mètres , et je ne parle pas de cavaliers de harad, et je ne suis pas sans défense moi même. Même alors que nous discutons ici je peut sentir l'énergie vital de vos compagnons et leur positions actuel.Mais heureusement se n'est pas mon but, je ne cherche qu'à vous aider.Bien sur vous pourriez vous en sortir sans moi mais ne pensez vous pas que vous vous sauveriez du temps et des vies si vous choisissez de me faire confiance ? Alors même que nous parlons de grands plans de batailles prennent formes dans les enfers de fer et les plus puissants capitaines du chaos se préparent à se battrent une fois de plus au nom de Morgoth, ils répandrons très bientôt mort et désespoir sur les peuples libres que vous chérissez tellement ! Vous savez quel sera le sort de se monde si vous ne réussissez pas, la nuit éternelle et la fin de tout espoir ..."

Halt fulmina quand ces prpos atteignirent ses oreilles, il ne put s'empecher de hurler ce qui lui passait par l'esprit

-Mais attendez Maitre Radagast ! Il ne faut pas faire confiance a cette sorcière d'Angband ! Elle vous manipule sournoisement. Les Peuple libres de la Terre du Milieu se battront contre vos créatures sortit droit de l'enfer quelque soit la puissance de votre armée démoniaque ! Comment pourrait-on vous faire confiance après tout ce que votre Maitre nous a fait endurer !

HeimDhall avait gravit les marches de la tour trois par trois et s'était retrouvé dans la petite salle qu'il avait quitté une demi-heure avant pour " nettoyer la plaine ". La salle était sombre et il n'y avait presque aucun mobilier mis à part un lit, une table de nuit et un tabouret. Il s'approcha du lit afin de veiller sur Walrim, qui était d'ailleurs vraiment mal au point. Il s'occupa de lui pendant un court instant puis il s'installa près de la fenêtre sur le tabouret. Le soleil se couchait sur les plaines de Rohan et au loin, l'on pouvait apercevoir les vertes plaines des éleveurs de chevaux.
Le temps que la communauté avait mit pour traverser aussi peux de terrain stupéfia le rôdeur. Ils n'avaient réussit qu'à parcourir la moitié des terres du Rohan et ce temps sans rien faire commençait à énerver l'homme du Nord. Il voulut s'éclipser pour un court moment, mais il fut rapidement rattrapé par les événements. La bataille entre les membres de la Communauté et les Haradhrims venait juste de commencer à ce moment et le rôdeur dut oublier ses rêves d'évasion le temps d'aider ses amis. Mais dès que le calme retomba sur la plaine, il voulut s'en aller, juste le temps de contempler une vaste forêt. Mais il s'en alla vers la casemate afin de veiller sur Walrim, Walrim le Courageux. Il appréciait ce nain, fêtard, trouble fête et buveur.

Il fut tiré de ses pensées par les paroles qui venaient de la cour, Radagast s'entretenait depuis maintenant beaucoup de temps, enfin beaucoup de temps aux goûts d'HeimDhall. Halt voulut bouger les choses et il avait bien raison :

-Mais attendez Maitre Radagast ! Il ne faut pas faire confiance a cette sorcière d'Angband ! Elle vous manipule sournoisement. Les Peuple libres de la Terre du Milieu se battront contre vos créatures sortit droit de l'enfer quelque soit la puissance de votre armée démoniaque ! Comment pourrait-on vous faire confiance après tout ce que votre Maitre nous a fait endurer !

-Il a pas tort le nain, je propose une chose maître Radagast, on a cas la prendre avec nous afin de discuter en chemin, parce que là il faut bouger. Si on reste trop longtemps ici, d'autres Orques risquent d'arriver. Je vais partir en éclaireur, pendant ce temps, préparé vous à vous en allez. Je reviendrai vous voir d'ici un ou deux jours. Si quelqu'un veut me suivre qu'il vienne.

Le rôdeur partit en direction l'Est afin de vérifier si le chemin était sûr, cela faisait trop longtemps qu'il n'avait pas courut. Les plaines était calmes et aucun bruit ne se faisait entendre mis à part un vent glacial qui venait du Nord. Aucun autre bâtiment n'était visible, c'était plutôt bon signe. L'Entalluve était juste devant lui, grand et large, sombre aussi. La seule chose qui l'intriguait était ce silence, il y avait vraiment quelque chose d'étrange, on entendait ni les oiseaux, ni le bruit de l'eau, seulement le vent...

Invité

Soudain un cracement se fit entendre tout était si silencieux l'on aurai cru que l'on pouvait entendre se son à des kilometre à la ronde. Sur le bat-coté l'on pouvait à peine distingué un silouette qui semblait humaine.

La silouette se raprocha elle commençait à devenir visible, c'était apparament celle d'un homme assez agé dans un manteau gris avec un baton et un chapeau

-Oh, jeune homme arretez vous un instant pour vous occupé d'un vieill homme. Le visage ridé de la personne avait de petit yeux qui fixé vivement ceux de HeimDhall s'appuiant sur son baton semblait assez désorienté. Mais dite moi jeune homme quelle peut bien être la raison de votre voyage sur des terres aussi dangereuse seul ?

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