Le triomphe des Ténèbres (mise à mort)

En ce début de journée, Glaurung déambulait dans la Salle du Palantir d'Angband, à quelques pas du Trone de Fer. Cela faisait une heure que le Dragon était rentré de sa mission en Comté, en ramenant comme il était prévu le seigneur d'Imladris Glorfindel pied et poings liés. Mais Morgoth, le Seigneur des Ténèbres, semblait avoir oublié la mission qu'il avait confié à l'un de ses plus fidèles serviteurs, et n'avait toujours pas daigné de se manifester.

*Mais que fait-il, mais que fait-il...*

Glaurung commençait à s'inquiéter de cette abscence prolongée. Il avait déjà constaté à quel point la raison de Morgoth avait souffert de son emprisonnement dans le Vide Extérieur. Qui savait si le Seigneur n'allait pas tenter quelque anerie ?

Puis soudain parut un capitaine humain, un homme de Rhùn, accompagnés d'un orc en armure ébréchée. Se faufilant devant les gardes balrogs, ils parvinrent devant Glaurung, au pied duquel ils s'inclinèrent.

-Trève d'inclinaison, misérables insectes. Quelles sont les nouvelles de la forteresse ?

L'orc se releva en premier, et balbutia:

-Noble Seigneur, il ne s'est guère passé de choses en votre abscence, sinon que les préparatifs pour le sacrifice de la Reine Elfe s'accélèrent. Des orcs femelles lui font en ce moment-meme la toilette pour la préparer au moment fatal. Des Mages venus de Harad sont arivés et préparent leurs incantations pour le sacrifice qui devrait, dit-on, ressuciter le puissant Ancalagon le Noir.

Glaurung se calma à cette nouvelle. Il avait entendu parler d'Ancalagon le Noir, l'un des Dragons les plus puissants, qui avait été tué par le perfide Earendil au terme d'un combat titanesque. Sa venue serait une catastrophe pour les Peuples Libres. Qui plus est, le gigantesque Dragon serait un allié de poid face à ce parvenu de Sénéchal Noir.

-Soit. Mais où est donc le Seigneur des Ténèbres ,

-Il s'est retiré il y a peu de temps dans ses quartiers. Mais il semble les avoir quitté depuis peu, et...

-Retrouvez-le, misérable pourceaux ! Je lui ammène Glorfindel le maudit comme prisonnier !

L'orc et l'oriental reculèrent sous la violence de l'ordre, et disparurent bientot tel des chiots apeurés. Glaurung agacé se tourna alors vers le palantir d'Orthanc. A travers els reflets de la Pierre de Vision, il aperçut le corps recroquevillé de Glorfindel, affalé sur un banc de pierre non loin de lui. Par pur cruauté, il lui déclara d'une voix mielleuse:

-Mon maitre te recevra bientot, Glorfindel de Gondolin. Nous verrons alors si les elfes sont aussi résistants qu'ils le prétendent...

Glorfindel n'avait jamais été autant insulté de sa vie. Jamais même dans ses différentes vies il n'avait ressenti pareil mépris pour sa personne. Il n'avait cru que les clans adverses auraient de la pitié pour lui, mais le traiter comme un vulgaire chien, comme un moins que vivant. Même les serviteurs des ténèbres tels ces stupides orcs valaient mieux que sa personne en ces lieux. Le seigneur elfe n'avait jamais eu un ego démesuré, seulement un certain respect pour son être. Pourtant ici tout ce qu'il pensait mériter, même le minimum pensable, n'était qu'un pur et simple rêve. Il espérait que le Seigneur des Ténèbres n'avait pas perdu un peu de sa grâce et de sa sagesse d'antan, alors qu'encore on le comptait parmi les Valars et leurs sujets, les premiers enfants d'Illùvatar, le Premier. Mais de cela, il ne vit rien, de cela, il n'en avait rien vu. C'était d'ailleurs bien triste... Bien triste de voir l'un des plus beaux esprits qu'on eut put créer et qu'on ne créera sûrement plus jamais s'abandonner à la malveillance, à la destruction, à la mort et à leur maître : la stupidité totale. En effet, si on y regarde de plus près, peut-on se poser des questions ? Comme celles-ci : Pourquoi tuer, pourquoi détruire, pourquoi faire souffrir des innocents ? Par plaisir peut-être... Mais comment un esprit créé par un être de bien pur pouvait-il être imprégné d'un Mal plus fou et plus fanatique que l'étaient tous les gens de bien dans leur domaine ?
Glorfindel n'avait jamais put se sortir ces questions de la tête pendant les longs millénaires que dura son existence, mais jamais il n'y avait trouvé réponse, que ce soit seul ou bien aidé de nombres de puissants esprits comme ceux des légendaires Elrond, Galadriel et bien d'autres. Certains grands hommes avaient également servit à cette enquête, mais depuis plus de huit milles ans aucune réponse n'était venu s'inscrire dans leurs esprits.

"Mon maitre te recevra bientôt, Glorfindel de Gondolin. Nous verrons alors si les elfes sont aussi résistants qu'ils le prétendent..."

Ces fugitives pensées furent interrompues par la voix lourde et agressive de son geôlier, l'un des anciens dragons : Glaurung. Il n'avait pas très bien entendu la conversation que celui-ci avait entretenu avec l'un de ses subordonnés, un orc insignifiant (qui pourtant valait bien mille fois sa propre vie), mais dans cet échange un nom lui avait tout de même frapper l'oreille.
Ancalagon le Noir.
Un dragon. Un serviteur des Premiers Âges... L'elfe écarquilla les yeux quand, son intellect libéré de ses pensées futiles prit bien conscience de l'annonce faîte par l'orc. Ancalagon revenait ?! Un désastre. Pire qu'un désastre. Rien de plus troublant encore pouvait survenir si ce n'était la venue d'un autre serviteur des ténèbres. Mais comment ? S'il avait bien compris, le Seigneur du Mal faisait revenir ses anciens subordonnés par les sacrifices de seigneurs ennemis ! Allait-il lui aussi y passer ? Comme nombre d'autres ! Il était le plus puissant seigneur des Peuples Libres, et si les rapports se suivaient, si Morgoth ramenait son plus fervent et son plus digne serviteur à la vie...
Le seigneur elfe ne pouvait pas imaginer une telle chose. Se retrouver comme aux Premiers Temps, aux Premiers Âge, combattre des ennemis que l'on a déjà vaincu plusieurs millénaires auparavant. Glorfindel ne trouvait pas de mot pour décrire son sentiment présent... Tout cela était... déprimant, désastreux, horrible, catastrophique, inhumain, inimaginable ? Rien. Aucun de ces mots ne permettaient de décrire ce qui lui prenait le coeur en cet instant tragique. Il reposait déjà au sol près des pattes de Glaurung, mais sous cette annonce il aurait put s'enfoncer bien profond encore, se recroquevillant tout près du centre de la terre et de sa chaleur réconfortante.
Si ses sujets le voyait, à genoux comme un vulgaire chien rattaché au dragon jouant le maître par une chaîne d'acier invisible, indestructible. Sûrement que beaucoup seraient enragés à cette vue et se précipiterait sur le dragon pour le dissuader de porter leur roi au seigneur des ténèbres. Mais les regards qu'il ne pourrait supporter, les regards perçants de ses sujets, de ses amis, le fixant, sans rien faire, seulement amplis de pitié et voire même, pour certain, un certain dégoût, ou une tristesse sans borne. Il ne voulait que voir de la rage et de la colère dans leurs yeux. De la rage devant sa position, de la rage contre leur ennemi. Se tournant lentement vers Glaurung, Glorfindel ouvrit la bouche avant de déclarer :

"Les elfes sont bien plus résistants que vous le pensez, lieutenant des ténèbres"

Sa voix était ferme et plutôt forte vu son état physique accumulé à sa grande fatigue. Il avait prit la décision de se battre, jusqu'au bout, jusqu'à la mort. De suivre son destin.

Glaurung était de retour lui avait t-on dit, et il avait ramener un prisonnier qu'il allait livré au Seigneur des Ténèbres, sur ces plus que bonnes nouvelles Annatar s'était dépêcher de quitter ses appartement pour ce rendre dans la salle du trône afin "d'accueillir " leur invité. Il lança un appel mental vers son allier draconien avant d'entrer dans dans le hall ... Et s'arrêta net en voyant que Melkor n'était pas la.

# Allons bon mais ou est il ? il devrait être la .... #

L'elfe noir se demanda quel "farce" l'Ainur avait pus préparer, il se tourna vers Glaurung pour saluer le général en s'inclinant légèrement et lui décocha un regard interrogateur, il allait enchainer avec des questions mais son regard tomba sur Glorfindel étaler sur un banc de pierre noir près du dragon. Le temps semblait ne plus s'écouler et il se passa un long moment avant qu' Annatar ne réagisse. Il savait que l'autre elfe serai la mais il n'avait pas prévu ce qui pourrai arrivé quand il le verrai et il fut surprit lorsqu'il sentit une haine terrible et incontrôlable monté dans sa poitrine et se diffuser dans son corps, certes il avait déjà ressentit cela lors de sa confrontation avec le sénéchal mais cette fois la sensation était bien plus glaçante et il aurai voulut avoir étriper le seigneur elfe a mains nues la tout de suite. Mais, il le savait, ce n'était pas son rôle de décider du futur du prisonnier, cependant il ne voulait pas laisser passé l'occasion de "discuter" avec l'autre. Il fit un sourire enjôleur et avec un regard vers Glaurung il s'approcha de Glorfindel ...

" Bienvenu a Angband mon seigneur " fit t-il avec une révérence moqueuse et il n'aurai put dire si il était encore lui même à cet instant mais ce qu'il savait c'était qu'il devait semblait totalement fou même au yeux des créatures des ténèbres ....

"J'espère que vous trouverez votre séjour agréable ... " Il examina attentivement son vis a vis, étudia chaque blessures et chaque meurtrissures du au voyage aux griffe du dragon,chaque cheveux en tentant de retrouver son calme. Avec les ondes qu'il produisait il devait avoir alerté toute les sentinelles énergétiques de la forteresse, si il ne se calmait pas rapidement il risquait de .... il devait se calmer. Il plongea son regard d'acier dans celui de Glorfindel son expression indéchirable même si il irradiait toujours des ondes empoisonnées et scruta les pensées de l'elfe, une idée dérangeante venant chatouillait sa paranoïa # j'aurai pus lui ressemblait, j'aurai put être comme lui si mon maitre ne m'avait pas aider .... je ne veut pas être comme sa ... # Il resta ainsi un long moment avant de sourire de nouveau et d'adresser mentalement la parole a l'elfe en face de lui; au final que Melkor ne soit pas la été une bonne chose, il avait envie de jouer un peu ....

# Glorfindel le tueur de Balrog nous nous retrouvons enfin ..... c'est un honneur .... #

[Bon, je continue un peu le rp en attendant la réponse de Adrix]

Voici que le Seigneur Annatar était rentré dans la pièce, et saluait ironiquement Glorfindel prisonnier. Glaurung se serait bien preté à la plaisanterie, mais il commençait à s'impatienter de la trop grande abscence du Seigneur Morgoth et de son disciple, le Sénéchal Noir. C'est pourquoi il finit par demander mentalement à Annatar:

*Dites-moi... Avez-vous remarqué quoi que ce soit d'anormal chez le Seigneur des Ténèbres durant ma mission ? Le voici absent depuis trop longtemps...*

A moins que ces imbéciles de haradrims se soient perdus dans les couloirs, ce retard ne pouvait etre du qu'à Morgoth lui-meme.

C'est alors qu'une dizaine d'hommes encapuchonés entrèrent silencieusement dans la Salle du Trone. Les gardes Balrogs en personne leur avaient ouvert la porte, il devait donc s'agir de personnes de marques. Par ailleurs, les nouveaux venus dégageaient une très puissante aura magique, empreinte d'un mal noir. Cela, Glaurung et Annatar pouvaient très bien le percevoir, étant des adeptes de la Magie.

Le Dragon avait tot fait de deviner qui étaient els nouveaux venus: il s'agissaient des sinistres Mages de Kharna, les pretres des ténèbres. Le Seigneur des ténèbres devait els avoir appelé pour préparer le sacrifice d'Idrial, qui servirait à rapeller du monde des Morts Ancalagon le Noir. Glaurung observa sans un mot les Mages asperger d'une huile grisatre les deux autels à sacrifice présents au pied du trone de Morgoth. Celui qui semblait etre leur chef avait ouvert un livre aux reliures dorées, et récitait à voix basses de sombres sortilèges, imprononçables pour quiconque ne servait pas les Ténèbres. Un autre magicien posa sur un socle dressé le Palantir d'Orthanc, qui enregistrerait chaque image de la future cérémonie. Le Dragon observait attentivement tous les détails du rituel, cherchant la moindre erreur qui conduirait les Mages de Kharna à la disgrace.

C'est alors que deux disciples du Sorcier se saisirent brutalement de Glorfindel pour l'installer sur l'un des autels, et le lier avec des chaines rouillées. Le Seigneur Elfe était maintenant installé solidement. Toutefois, Glaurung cru bon de préciser ironiquement:

-N'ayez crainte, Grand Seigneur, on ne vous otera point la vie durant la prochaine cérémonie. Non, vous n'etes pas la victime destiné au sacrifice. Mais savez-vous qu'il existe des sorts pires que la mort ?

La porte du troupe s'ouvrit alors avec fracas... Les lourds battants de bois avaient été repoussés comme s'ils avaient été fait de papier. Mais il n'y avait personne derrière... A la place, un long couloir qui se terminait dans les ténèbres. Plusieurs longues secondes s'écoulèrent jusqu'à ce qu'une silhouette massive se distingue peu à peu, suivi d'un bien étrange requiem, un chant de mort, une complainte digne d'Angband
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-Who ! Je pète le feu moi !

Vous l'aurez reconnu, c'était le Sénéchal Noir, dans toute sa majestueuse virilité qui venait de faire son entrée. Depuis longtemps déjà on l'attendait, mais il avait enfin fait son retour à Angband, riche de sa réussite récente lors de sa dernière mission. Ah ça oui, il s'était bien amusé en Isengard, cette petite dame avait été des plus charmantes... en plus d'être facile à maîtriser. Bon malheureusement il y avait cet espèce d'effet boomerang qui l'avait un poil dérangé mais rien de bien inquiétant. Il avait une pêche d'enfer aujourd'hui, et il était prêt à transformer la Tour Sombre entière en véritable org... euh en véritable fiesta !
Et quel étrange cérémonie lui avait-on annoncé là, un sacrifice en vue, et en plus la capture de Glorfindel ! Le tueur de Balrog en personne venait visiter les geôles du coin. Quel veinard, celui là, se rendait-il compte que des gens tueraient pour visiter Angband ? Le club Med le plus branché de toute la Terre du Milieu !
Voir un mec ne l'intéressait pas vraiment en réalité, lui c'était d'la gonzesse qui lui fallait si vous voyez ce que je veux dire... merde, je me met à parler comme lui ! Au secours c'est contagieux ! En tout cas, on l'avait rarement vu d'humeur aussi joviale, comme si quelque chose de merveilleux lui était arrivé

-Yo le sac à main ! Toujours aussi mauvaise haleine a ce que je sens !

C'était bien entendu à Glaurung qu'il venait de s'adresser, avec tout le respect qui lui était dût bien entendu

-Tiens, mais y a aussi le fifils à son Sauron ! Toujours aussi pâlichon à ce que je vois, bronze un peu ! C'est une vraie réunion au sommet ici !

Là je pense que vous avez deviné de qui il s'agit pas besoin de préciser... Il se tourna ensuite vers Glorfindel, à qui il mit Grond sous le nez

-Bienvenu chez nous, dommage que tu sois un homme, je t'aurais fait goûter à notre comité d'accueil ! Où qu'il est le padre ?

En fait il savait parfaitement où était Morgoth... Voulez vous savoir les raisons de sa bonne humeur soudaine ? Je vais vous expliquer... Pour cela, faisons un petit bond dans le temps, quelques heures en arrière, pendant que les orques femelles font sa toilette à la future sacrifiée... cette dernière était toujours zombifiée par sa relation avec le Sénéchal, c'est qu'il carbure le gars...

Flash back et compagnie... Effet noir et blanc s'il vous plaît. Faîtes tourner le décor

Nous nous trouvons désormais devant la porte de la salle de bain où Morgoth se trouve actuellement. Il cherche par tous les moyens de pénétrer cette fichue serrure qui lui bloque l'accés à la salle de bain... Il aurait bien aimé utiliser ses pouvoirs... mais la détonation magique aurait rameuté toute la maisonnette. Et franchement, ce serait trop la honte d'être vu en train de mater une elfe dans son bain là... Faut pas lui en vouloir à ce pauvre Morgoth, il a de graves problèmes à ce niveau là. Mais je n'en parlerai pas ici... C'est un gag tout chaud que je vous réserve pour plus tard... Il devait se rabaisser à utiliser des moyens de mortels... Mais seulement, avec ces gros doigts, pas facile de jouer les serruriers... Je précise qu'il a oublié qu'il peut changer d'apparence, ce serait pas drôle sinon.
C'est alors que le Sénéchal entre en scène !

...

Sénéchal ?

...

Youhou ? Où qu'il est ? On a perdu le PNJ abusé ?! Ah tiens le voilà qui arrive en courant. Mais pourquoi il est essoufflé comme ça ?

-Aah... ah.... ah... Pas facile de courir... avec une armure...

Quel est le problème ?

-Au prochain.... effet flash back... Attendez que je sois partit en coulisse avant de... tourner le décor. J'ai du faire... tout le tour du studio... moi même.

Ah oui en effet c'est peut être un problème quand on connait la taille de notre production... Le pauvre, il a du sortir par derrière... Ca fais jamais que quelques centaines de marches à descendre puis à remonter hein.
Revenons à nos moutons... Il a retrouvé son souffle c'est bon.

-Tiens, Père que faîtes vous ici ?

Le concerné se releva brusquement, faisant mine de regarder ailleurs...

-Aheum... rien... je... je vérifie les enchantements présents sur cette porte

-Des enchantements ?

-Oui pour éviter qu'un petit malin tente d'entrer par la force tu comprend...

-Ah ok... J'ai bien fait de me faire faire un double des clés alors.

-Oui sûrement...

Laissez deux secondes que ça monte au cerveau

-Quoi ?! T'as le double ?

Le Sénéchal sortit un trousseau de clé toutes brillantes, elles étaient baignées d'une douce lumière, comme un message du ciel

-J'ai un haradrim serrurier dans la tour en contact, très pratique

-J'imagine.... euh... Que comptes tu en faire ?

-Ben comme d'hab, je rentre, je me la fais un p'tit coup histoire de la laisser dans son état légume et je ressors. Facile quoi

-Ah mais euh... c'est interdit !

-Ah bon ?

-Oui, d'ailleurs remet moi ces clés ! Il ne faut plus la toucher !

-Et pourquoi ?

-Parce que... parce que c'est pas bien !

Essayez de vous rappeler qui est en train de parler là et vous comprendrez pourquoi le Sénéchal en reste muet de stupeur

-Tu as des arguments très convaincant tu le sais ça ? Juste rappelle moi c'est quoi notre rôle dans cette histoire ?

-Contrôleurs des impôts ? Politiciens ?

-Non pas assez démoniaques quand même

-Méchants de l'histoire ?

-Oui voilà, donc j'ai pas de scrupule à avoir ! Je suis juste là pour apporter un côté comique à l'histoire chez les méchants aussi

-Pourquoi faire ?

-Parce que les gentils avaient Adrix alors il fallait un contrepoids pour pas faire de jaloux, puis ça permet de développer un scénario interessant dû à la rivalité entre nos deux fortes personnalités.

-Ah...

-Et donc je vais franchir cette porte et faire mon devoir de vilain !

-Non !

-T'es jaloux ou quoi ? je te rappelle que toi tu ne dois pas ! Si tu passes à l'acte, elle se désintégrera en un instant ! Tu es un Dieu je te rappelle !

-Je sais je sais mais

-Y a pas de mais ! Je t'ai déjà laissé refaire un essai la dernière fois ça n'a rien donné !

-Donne moi cette clé !

S'en suivit un intense moment de lutte père/fils que je vais vous éviter parce que c'est déjà trop long de coder tout ce dialogue et que je vais pas tarder à aller me coucher moi... Le fait est qu'au milieu de cette violence, la clé fut détruite par une boule de feu maladroite.
Mais pourquoi le Sénéchal est-il si heureux ? Parce qu'il a préparé sa vengeance...
Retour au présent

-Morgoth arrive ! Morgoth arrive !

Un pas lourd résonna derrière l'immense trône des Ténèbres... Il était là, enfin; le tout puissant Seigneur du Mal allait faire son entrée. Malgré ce retard et cette dispute malheureuse, il allait rendre son terrible jugement envers Glorfindel, le Tueur de Balrog, et faire ressuciter Ancalagon le Noir par le sacrifice de la jeune elfe...
Voilà sa majestueuse personne qui pénètre maintenant dans la salle, équipée de son imposante carapace d'acier
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-Eh ! Pourquoi j'ai ça en musique d'intro moi ?! Je ne suis pas gay !!!

*Merci au mec des platines*

-Enfin ! Le coupable sera puni !

Il remarqua seulement maintenant les gens présents. Géné, il s'assit en vitesse sur son trône et clama d'une voix on ne peut plus démoniaque

-Que se passe-t-il ici ?!

/Pour mon retour fallait que je vous bombarde de ziks XD /

Invité

Sharnlok était furax , il chevaucher au triple galop dans les couloir d'angband.Il éperonna son loup et lança un profond juron a l'égard de ces imbéciles de larbins qui avaient oubliés de le prévenir pour la séance de torture.Mais ils seront châtiés ! il jubila d'avance mais sa satisfaction s'estompa bien vite lorsqu'il remarqua une fois de plus qu'il venait de sortir d'angband et se retrouvant dans la cours principale.

Foutu du forteresse !Vite vite !Dit-il a son loup en l'éperonnant.

Si il arrivait en retard sa allait vraiment saigné pour lui.Déjà que peu de gens l'appréciait pour son coté répugnant.Il jeta un coup d'oeil aux alentour , apparemment il avait semé sa garde personnel.

**Foutus esclaves et incapable !**

Et il repartit en vitesse finalement , après avoir visité la tour de garde , les souterrains , la caserne des soldats et les cavernes a trolls.Il retrouva sa petite troupe entrain de jouer au cartes.

La colère bouillonnait dans son cerveau de gobelins , ses yeux virèrent d'un vert a un rouge sang profond.Il prit sa lance et l'envoya sur le misérable ver de terre devant lui.

Hheeh quinte flosh !A moin les champig' blouargh

Il s'écroula sur la table aspergé de sang, des cartes sortirent de ses manches.Les autre n'eurent pas le temps de comprendre qu'il avait triché que leurs commandant les rappela a l'ordre

Bougez-vous les asticots !Si dans cinq minutes on est pas a la salle de torture je vous donne a bouffer au loups !

Paniqué et en vitesse ils precipiterent sur leurs montures.

Allez ! euuuh ... passez d'vant !

Ses sous fifres , beaucoup mieux renseigné sur l'architecture de la forteresse que lui le menèrent finalement devant une grande porte ... se refermant

NAAAAOOOOOOOONNNgueula-t-il de sa profonde voix aiguë remplis d'horreur a l'idée du châtiment qu'on lui réserverait pour cela.

Le goblin se mit debout sur le loup , heureusement moitié mutant sinon depuis des heures il serait mort , et bondit vers l'ouverture , son petit corps réussis a passé a travers sans se faire écraser mais hélas , autre chose alla s'écraser directement .... sur le sénéchal noir.

**Arg , après sa je sent que va chauffer pour mon matricule !**

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH

pâlichon, pâlichon ..... pâlichon ..... Le sénéchal venait de le traité de .... Il n'était pas ... La remarque l'avait accrocher sur place. Il s'attendait toujours à du grand art de la part du sénéchal mais SA il ne l'avait pas prévut ... Qu'un truc bizard en boite et qui prétendait être beau lui balance que LUI était pâlichon ( ce qu'il était mais tout le monde n'aime pas se dorée la croute ). Même l'entrée de Morgoth le laissa indifférent tant il était choquer par la conduite du l'humain.

Il regarda Glaurung d'un air absent # C'est vrai que je suis pâlichon ? # avant de se mettre une gigantesque claque mentale, il était roi bon sang il devait se comporté selon son rang, contrairement au sénéchal, se qu'il ne manqua pas de faire part au Dragon.
Il en était la de ses réflexions quand une série de bruits tous plus assourdissant les uns que les autres et de voix suraigues hurlant des ordres divers et variées ainsi qu'un chapelet de jurons colorés le força à revenir à la réalité ( et aussi au sénéchal qui se pavanait sous son nez ). Alors qu'il allai lancer le dialogue avec glaurung ( toujours en tentant infructueusement d'ignoré le bêllatre ) un truc non identifier s'introduisit dans la salle en hurlant, alors qu'un second truc non identifier s'en allait atterir sur le casque du sénéchal.
Encore une fois Annatar resta interdit tout en se demendant si le monde n'était pas redevenu fou; il était partagé entre l'envi de hurler de rire et celui d'aller voir si le sénéchal était toujours entier ( on ne pouvait décement pas s'inquiété dans une situation pareille, meme si ils étaient ennemis ). Il opta pour la seconde solution et s'avança hors de l'abris que lui fournissaint les ailes de Glaurung, traversa la salle en notant que la chose hurlante n'était autre que Sharnlok ( à qui il adressa un petit salut a la fois moqueur et compatissant )et s'arréta à quelque centimètre de l'humain.

" Sa va ? pas trop mal au crane ? Un peu d'aide ou je vous laisse vous en sortir tous seul ? "

Annatar se souvint alors qu'il y avait Glorfindel dans la salle. La scène devait être commique, un général gobelin étaler comme un blate par terre, un sénéchal un peu secouer par le truc non identifier qui lui avait attéri dessu ( et qui pendouillait toujours ) et lui en train de proposer son aide en essayant de ne pas rire au nez ( et a la barbe ? ) dudit sénéchal ... Oui vraiment commique ... il allait se pencher en avant quand un sinistre bruit parvint à ses oreilles. Le CLICK métallique produit par la serrure de son tome de runes venait de s'ouvrir, et de répendre son contenu sur le sol.

# Décidément, sa devient une habitude ... #

Il allait le refermer quand une compréhension subite le frappa, et il eu juste le temps de dire " aie " avant que l'explosion n'est lieu.

Invité

Le bouquin du général elfe tomba par terre, alors qu'il voulut le ramasser une explosion eut lieu projetant Sharnlok a quelques mètres.Il eu juste le temps de se protegé d'un bouclier magique après avoir comprit comment faire et carbonisé quelques gardes.

Yaaaaaaah WAAAAAAAZZZAAAAAAAAA Gueula t-il de sa double voix.

Remarquant que tout le monde le fixaient d'un air étrange , il sortit une excuse bidon qu'il avait préparait.

Je faisais des expérience et KABOOUUUUM Niarwahaahaaha ... Et aussi maintenant je peux faire sa !

Il pointa le doigt vers un garde , qui se demandait comme une telle créatures aussi débiles soit-elle pouvait existé dans ce monde.Et tout d'un coup il se tint le ventre et vomit plusieurs litres de gelée verte.

Euuh ... nan c'est pas sa ...C'est saaaaaa haha

Il refit le même geste avec un autre garde.Cette fois , il courait dans tout les sens et une terrible odeur se fit sentir.En gros il lui avait donné la diarrhée ...Et sa schlinguait a mort.

Ahem .... Silencieux mais mortellement efficaces .... Essaya d'ironiser l'apprenti magicien.

HRP: je vous laisse répondre avant de commencer le sacrifice d'Idrial ^^

Et voilà que le Sénéchal Noir entra en grande pompe dans la Salle du Trone. La présence imprévue de ce fanfaron vaniteux déput à Glaurung. Le fils adoptif du Seigneur des Ténèbres arborait un air fier; sans doute venait-il de se livrer à l'une de ces relations avec des prisonnières, toute à fait contraire aux antiques traditions d'Angband. On torture et dévore les prisonniers, on ne fait pas autre chose avec ! Mais c'est alors que l'Humain monté en graine lacha:

-Yo le sac à main ! Toujours aussi mauvaise haleine a ce que je sens !

Le Dragon faillit exploser de colère sous la remarque méprisante. Mais il préféra ignorer purement et simplement les paroles du Sénéchal Noir, et garda la tete haute tout en lui envoyant une impressionnantes charge d'ondes mentals négatives. L'air de dire: "Prend garde, un jour tu ne m'échapperas pas !". C'est alors qu'il reçut un autre message mental d'Annatar:

# C'est vrai que je suis pâlichon ? #

*Ne tenez pas compte de remarques de ce mécréant, sire Annatar, il cherche avant tout la provocation. Quand à votre teint, il n'est pas plus blanc que celui propre à votre race.*

A la suite du sénéchal Noir, une impressionnante cohorte de généraux haradrims et orientaux en tenue d'apparat, escortés par plusieurs gardes orcs, rentrèrent dans la Salle du Trone, sous l'oeil indifférents des gardes Balrogs. Il s'agissait d'officiels triés sur le volet pour service rendus au Ténèbre, qui avait reçu le droit exeptionnel d'assister au sacrifice d'Idrial et au réveil d'Ancalagon le Noir. Ils s'assirent sur des espèces de tribunes taillées à meme la roche à gauche des autels, d'où ils pourraient assister à la scène sans gener les Mages de Kharna.

Puis enfin débarqua Morgoth Bauglir, Maitre d'Angband, accompagné d'une ridicule musique évoquant l'homosexualité, dont les accords évoquaient un concerto de Rhun. Le Seigneur des Ténèbres parut fort courroucé de cette mise en scène qui gachait tout l'aspect maléfique de son entrée, et c'est pourquoi tous les officiels présents, y comprit Glaurung, se retinrent prudemment de rire et s'inclinèrent profondément devant leur unique Maitre.

Puis Glaurung s'approcha de Morgoth, qui exigeait des explications sur cette mascarade:

-Maitre, l'attaque de la Comté par les généraux Sharnlock et Narquelion est un total succès. Non seulement les Hobbits ont été exterminé et leur pays ravagé, mais Glorfindel d'Imladris, le perfide qui tua par le passé nombre de vos serviteurs, a été fait prisonnier, et le voici à votre merci. Le Grand Pretre de Kharna a jugé utile que cet insecte d'elfe assiste au sacrifice d'Idrial, la jeune reine de Lothlorien capturée tout récemment, qui devrai ramener parmi nous lle Noir Ancalagon, vaincu par Earendil il y a des millénaires de cela.

Glaurung avait à peine fini son discours qu'un gobelin monté sur un loup fit son apparition, et s'écrasa sur le Sénéchal Noir. La scène plut au Dragon, car son ennemi juré y était ridiculisé, mais il envoya toutefois un message mental menaçant à Sharnlock et Annatar, qui s'étaiut joint à lui:

*Messieurs, un peu de décense que diable !*

Un projectile bizarre et non identifié eut la mauvaise idée d'aller faire un bisou au Sénéchal... Ce dernier resta de marbre quand ce drôle de machin lui attérit dessus, pas même un mouvement de recul ou un réflexe d'esquive. Il avait l'air de s'en foutre à un point titanesque. Ou bien la colère qui bouillonnait en lui attendait juste le moment d'éclater de toute son éclatante fureur. Il aurait eut plus mal que ça sans les runes de protection de son armure. Sa stature massive l'avait aidé aussi. Et ce n'est pas une bonne idée que d'énerver un PNJ aussi dangereux que celui là.

" Sa va ? pas trop mal au crane ? Un peu d'aide ou je vous laisse vous en sortir tous seul ? "

-Tu me touches, je t'éclates...

Le ton était neutre, froid, mais pareil à une tempête qui couve avant de laisser place à un orage monstrueux. De sa main gantelé, il saisit le Machin-Non-Identifié, et le jeta par terre d'un air agressif. De la fumée jaillissait de son casque alors qu'une aura noire orageuse tonnait autour de lui. Si Morgoth n'avait pas été là, il aurait fait bouffer le gobelin à Annatar avant d'enfoncer cet elfe fourré au verdâtre dans le postérieur du sac à main ! Ce serait un véritable plaisir de faire payer tous ces abrutis ! Ils se moquaient de lui, silencieusement ou non, il en était persuadé. Et personne n'avait le droit de ricaner du Sénéchal Noir, le Terrible bras droit de Morgoth, Exterminateur de bonnes femmes et Bourreau des Peuples Libres ! Son CV était aussi long que le Noir Ennemi était puissant ou qu'Adrix était stupide.
Le mage gobelin s'amusait à faire sauter des gardes, leur foutre la diarrhée, bref tout ce qu'un apprenti magicien fait avec ses nouveaux pouvoirs. Enfin, qu'est-ce qu'il en sait lui, après tout, il était né adulte et demi-dieu !
Il envoya un message télépathique au gnome couleur petit pois

*Toi et moi, on s'expliquera aux cachots ce soir...*

Retour à Morgoth le Sombre, personnage principal de cette histoire après tout. Le dragonnet de rien du tout lui faisait son rapport beaucoup trop long pour être honnête, et lui, avait l'air de s'en moquer comme de sa première extermination.

-Maitre, l'attaque de la Comté par les généraux Sharnlock et Narquelion est un total succès. Non seulement les Hobbits ont été exterminé et leur pays ravagé, mais Glorfindel d'Imladris, le perfide qui tua par le passé nombre de vos serviteurs, a été fait prisonnier, et le voici à votre merci. Le Grand Pretre de Kharna a jugé utile que cet insecte d'elfe assiste au sacrifice d'Idrial, la jeune reine de Lothlorien capturée tout récemment, qui devrai ramener parmi nous lle Noir Ancalagon, vaincu par Earendil il y a des millénaires de cela.

-Oui oui, c'est super... Ces semi-hommes auront payés l'affront fait à mon ancien bras droit. Faîtes préparer le sacrifice de la belle. Ca me calmera.
Il porta son attention sur Glorfindel, un bien amusant prisonnier. Ce soit disant Envoyé des Valar, l'elfe grosbil personnifié, avec ses cheveux couleur d'argent, son épée magique, sa résurrection façon Gandalf le Blanc après une tuerie de Balrog et tous les trucs lumineux qui l'entourent constamment. Un cocktail qui donnait la gerbe au Seigneur du Malin et plutôt deux fois qu'une en fait. Il lui avait préparé un supplice à la hauteur de son dégoût pour l'individu

-Bien... petit elfe... Toi qui jadis élimina un des Mignons, un de mes précieux Balrog, mes flamboyants larbins. Toi qui protégeas l'Anneau de cet idiot de Sauron contre ses serviteurs encapuchonné. Tu vas payer aujourd'hui tes crimes envers les forces des Ténèbres. Et tu comprendras pourquoi la malveillance est aussi necessaire que ta prétendue lumière.

-Le Bien ne peut exister sans le Ténèbres dit on je crois... L'inverse n'a jamais été prouvé par contre. Faire le Mal c'est bien.... être maléfique c'est mieux.

Morgoth le terrible, le puissant, leva son poing majestueux au dessus de sa tête. Une flamme verte comme l'émeraude apparut alors, baignant la pièce toute entière dans un éclairage obscur. Toutes les torches s'étaient éteintes comme par enchantement, la magie de Morgoth étant la seule source de lumière... cruelle ironie pour la magie noire n'est-ce pas ?
Alors, il pointa son doigt majestueux vers son prisonnier. Un éclair jaillit alors, frappant la poitrine de Glorfindel de plein fouet. Il fut soulevé de terre, entourée d'une aura de malveillance concentrée. Il y avait plus de noirceur dans ce sortilège que dans la plupart des incantations dévastatrices. Et subitement... Glorfindel...
Fut transformé en femme.

-JACKPOT !

Le Sénéchal oublia bien vite tous ses soucis. Il venait de trouver une nouvelle jument à monter ! Lui aussi allait jeter un sort... De toute sa malveillance, il jeta le même sortilège que face à la magicienne d'Isengard. Tous les vêtements de "Glorfindela" se désintégrèrent sur place, laissant apparaître sa poitrine blanche et parfaitement ronde, ainsi que d'autres parties plus intimes. Morgoth s'était très appliqué vis à vis des détails, le résultat dépassait les espérances du dragueur d'Angband. Elle était tout simplement divine comme ça !

-Maître, laissez moi la prisonnière, enfin Glorfindel, je m'occuperai de l'interrogatoire en personne !

Il l'avait transformer en femme ... En FEMME ! Apres les explosions, le gobelin et les course poursuite de jeune elfe pas très habillé dans les couloir de la forteresse Annatar se dit que la, ils avaient décidément atteint le fond de l'abysse et qu'ils n'étaient pas prêt de remonter.
D'un autre cote l'elfe était bien moins majestueux qu'auparavent, ce qui n'était pas difficile lorsqu'on vient d'être transformer en femme et qu'on c'est vu retirer ses vetements.
Il ne savait plus du tout comment réagir, entre Sharnlok qui se ratatinait de terreur pour une raison inconnu, glaurung qui rester planté sur place et le sénéchal qui recommencait a se comporter honteusement. Sans parler de Glorfindel qui il fallait le dire était quand même sacrément bien réussit en version femminine ( même si étant Noldor sa ne devait pas être une surprise ), l'elfe noir rester planter sur place, partager entre son indecision face a ses alliers et la petite ( il ne pouvait se résoudre a penser a son ancienne apparence ); il se retrouva avec un véritable dilème sur les bras : soit il attendait un mouvement de la part de Glaurung, soit comme son cervau le sugérer il s'interposait entre le sénéchal et l'elfe.

* Imbecile ! Ne fait rien d'irréfléchi ! tu veut nous tuez ou quoi ?!
- Non mais non je ne veut pas ! Mais je ne vais tout de même pas le euuuh LA laisser avec l'autre humain ?
- Est ce que tu te rappel de qui tu est en train de causer la ?
-Glorfindel oui je sait enfin maintenant y a du changement ...
- M'en tape c'est un ennemi !
-Euuuh UNE ennemie tu veut dire.
-QUAND VA TU CESSER DE ME CONTREDIRE ? oh et puis d'accord si sa se trouve elle peut nous aidez ... Mais a une condition.
- Je craint le pire .. laquel ?
-Tu me laisse lui parler.
- .... Ok sa me va mais dans se cas moi aussi j'ai une condition.
-Tu veut aller tailler le bout de gras avec le parvenu je pari.
- C'est d'accord alors ?
- Bon OK je marche mais si tu lui dit que s'était moi l'autre fois je te ... *

Apres un plongeon dans le tréfond de ses deux personnalitées Annatar se décida enfin a bouger, dans l'ordre des prioritées il expédia plusieurs ondes mentales, respèctivement Glaurung : * Ne t'inquiète pas, je vais jouer un peu avec le feu*, Sharnlok : * Qu'est ce qui ne va pas ? Il a dit quelque chose ? * , Glorfindel : * Tout va bien ? * et enfin le Sénéchal : * Pourrai t'on avoir une discussion tranquille après les festivitées, c'est important, vraiment important * avant de s'avancer dans la salle, de prendre une grande inspiration, de fermer les yeux et tout en priant n'importe quel Valar qui veuille bien l'écouter il parla d'une voix forte :

" Maitre je vous demande une faveur ! "

Avant de se mettre à genoux et d'attendre patiemment le verdict. Même si il s'agissait d'une ennemie il ne pouvait la laisser ainsi sans défences.

HRP: bon, on va considérer que les dimensions de la Salle du Trone sont suffisante pour accueillir la cérémonie

Glaurung resta béat devant la méthamorphose qui se déroulait devant lui. Par la magie de Morgoth, Glorfindel le Tueur de Balrog fut transformé... en fille ! La honte saisit le Dragon devant ce spectacle. Il s'agissait de la plus stupide, de la plus inutile et de la plus ridicules de punitions que l'on pouvait infliger à un ennemi ! Qui plus est, elle n'était pas en accord avec les Antiques Traditions d'Angband, à laquelle Glaurung était attaché plus que tout. Il ajouta à l'adresse d'Annatar:

*L'etat mental du Seigneur des Ténèbres doit etre dramatique pour qu'on en sois là !*

Glaurung ne voyait qu'un seul coupable à cette situation lamentable: le Sénéchal Noir ! Ce fanfaron qui se souciait plus de jouir des bons plaisirs de cette terre que de faire du mal à autrui, qui ne respectait aucune des Antiques Coutumes d'Angband, devait forcément avoir influencé Morgoth Bauglir ! Le Dragon jeta un court instand un regard noir, rempli de la haine la plus absolue, au vaniteux Sénéchal. A ce rythme, cet imbécile risquait de mener les armées des Ténèbres à la Defaite !

Soudain, les larges portes de la Salle du Trone s'écartèrent. Un silence de cathédrale s'établit sur la Salle, et tous regagnèrent leurs places assignées, Glaurung le premier. Puis l'on vit passer par les battants de la porte toute une procession de Sorciers de Kharna dans leurs robes noires, marchant au pas. Les deux premiers portaient de larges torches, et étaient suivis par un choeur de jeunes haradrims qui entonnaient un bien étrange cantique:

-Sanctus... Dominus... Cheesy-Poof !

Glaurung fronça les sourcils face à cette incantation, qui n'était pas celle récitée habituellement pour les résurrections. Mais il préféra se taire pour l'heure, et observa attentivement la procession. C'est ainsi qu'il aperçut, au milieu de la file, la reine Idrial de Lothlorien qui avançait le regard zombifiée, vetue d'une magnifique robe blanche tirée par quatres demoiselles orques d'honneur, contrastant avec la noirceur de la Salle.

Spoiler:

Vetue ainsi, on pouvait croire qu'elle se rendait à un mariage royal. Mais c'est une union avec la mort et les Ténèbres que l'on préparait à la malheureuse héritière de Galadriel.Certains pretres de Kharna s'écartaient au fur et à mesure de la procession, et venaient former un cercle autour d' l'autel. Les deux hommes avec les cierges s'écartèrent et utilisèrent leurs torches pour tracer à la cire un étrange cercle sur le sol, muni d'inscription incompréhensible.

Puis enfin Idrial parvint au pied de l'autel, tandis que le choeur se taisait soudain. Elle escalada en silence quelques marches, puis s'immobilisa, tandis que ses demoiselles d'honneurs se retiraient. En revanche, on vit s'avancer deux Pretres de Kharna en tenue plus sombre que les autres. Entourant la jeune Idrial, le regard inexpressif, ils entreprirent de la dépouiller entièrement de ses vetements. C'est que toutes ces tenues coutaient chères au Trésor d'Angband, et que nul ne voulaient les voir tacher par le sang du sacrifice. L'opération se fit en peu de temps avec une grande application. Idrial ne réagissait toujours pas, le regard perdu dans le vide. Elle semblait meme aider ses bourreaux, comme si, inconsciemment, elle voulait en finir au plus vite avec la vie. C'est ainsi qu'on la vit tendre ses jambes blanches comme l'albatre lorsque, une fois dévetue et assise sur l'autel, un des Pretres lui retirait avec une ironique délicatesse ses chaussures de verre. La reine était à présent uniquement parée de ses cheveux d'or coiffés. Les Humains de la salle restaient hypnotisés par le spectacle que leur offrait le corps magnifique de l'Elfe, mais Glaurung, en temps que Dragon, regardait la scène d'un oeil las, pressés que l'on en vienne au sang.

L'un des pretres s'écarta, sa mission accomplie, mais un autre resta et releva son capuchon. A sa tonsure et à son jeune visage, on pouvait reconnaitre un jeune novice formé depuis peu au service des Ténèbres. C'est sans doute avec fierté qu'il avait accepté de jouer le role du sacrificateur lors de la cérémonie. Le jeune homme arborait un air sur de lui, tandis qu'il forçait le corps zomifié d'Idrial à s'allonger sur l'autel et emprisonnait les pieds et les mains de la jeune elfe dans des chaines taillées dans le métal le plus solide. A présent, la reine de Lothlorien était prisonnière de l'autel: elle ne pourrait échapper à son triste destin.

Puis le bourreau leva les bras au ciel et, tandis que le choeur d'enfants se remettait à chanter ses incantations sinistres, un grand prodige s'accomplit: la coupole qui recouvrait le sommet de la salle du trone s'ouvrit soudain, révélant un ciel d'Eté sans le moindre nuage. Nul ne pouvait savoir si le plafond avait été ainsi ouvert par la magie ou par un simple mécanisme, tel que les Humains en avaient le secret.

L'attention était maintenant à son comble. Le regard des assistants se partageait entre Idrial, nue sous le ciel étoilé, et le novice chargé d'exécuter la malheureuse, qui cherchait tranquillement parmi tous ses instruments de tortures celui qui servirait au sacrifice. C'est alors que, regardant par la gauche, la fille adoptive de Galadriel et de Celeborn aperçut, sur l'autel voisin, le corps également dénudé de Glorfindela. Soudain, le charme imposé par le Sénéchal Noir se rompit. Idrial retrouva ses esprits, et la brume s'éloigna de son esprit tourmenté. C'est que en des temps anciens, à l'époque où la paix régnait sur la Terre du Milieu, celle qui n'était à l'époque qu'une demoiselle d'honneur de Galadriel avait eu l'occasion de rencontrer le Noldor à l'armure d'argent, au cour d'une missions diplomatique à Imladris. Elle n'avait pu détacher son regard de ces beaux yeux bleus profonds, et l'amour l'avait liée à Glorfindel. Maintenant, ces memes yeux bleus, bien qu'étant dans le corps d'une femme, venait de rapeller à une Idrial moribonde son passé et son présent. C'est ainsi que tous ses souvenirs lui revinrent en tete, de son enlèvement par els guerriers de Glaurung à la toilette que lui firent els orcs femmelles. Idrial regarda le novice de Kharna, et ses yeux se remplirent d'horreur, lorsqu'elle le vit se saisir d'un couteau richement incrusté, à la lame acérée. D'un regard suppliant qui aurait fait craquer un coeur de pierre, elle demanda à son bourreau d'arreter, ou dumoin de retarder, l'échéance fatale.

Mais il était trop tard, à présent. Le jeune sacrificateur à l'air sur de lui ne tint pas compte des supplications de sa victimes et leva le couteau, pret à frapper. La lame s'abbatit sans un bruit en dessous du sein droit d'Idrial, fendant la peau et pénétrant la chair. Sans attendre, le novice s'empressa d'élargir la plaie béante, jusqu'à repérer une petit organe brun parsemé de vaisseaux sanguin, qui gonflait et se dégonflait. De sa main libre, il arracha l'organe sans hésiter, et le leva bien haut dans le ciel, un sourire radieux éclairant son visage fier. A tout les coups, il venait de s'emparer du coeur d'Idrial. Que cela avait été facile ! A coup sur, ses supérieurs seraient épatés par sa prestance, et les récompenses pleuveraient.

Mais rien de cela ne se passa. Au contraire, un Sorcier de Kharna s'écarta rapidement des autres et chuchota à l'oreille de son maladroit disciple:

-Que fais-tu, Oh imbécile ! C'est le foie de l'elfe que tu tient là !

Brusquement, toutes les illusions du novice s'écroulèrent. Sur le coup de la surprise, il lacha l'organe d'Idrial qui s'écrasa sur le sol, éclaboussant le visage de Glorfindela de sang oxygéné. En effet, c'était le foie de la pauvre elfe qu'il tenait dans sa main, et non le coeur ! Par ailleurs, la malheureuse princesse n'était pas morte. Son visage se tordait de douleur, ses poings se serraient, ses jambes s'agitaient dans le vain espoir d'échapper à l'étreinte des chaines. Jamais, dans le monde merveilleux et clos de la Lothlorien, elle n'aurait imaginer qu'une douleur aussi atroce puisse exister ! Et pourtant, elle n'était qu'au début de son calvaire...

[A suivre]

[Suite et fin ^^]

Car brusquement, le jeune novice fut saisis de panique. Dans sa grande confiance en lui et sa fierté, il avait totalement oublié de réviser son anatomie du corps elfe. A présent, ikl ne savait pas où se trouvait le coeur, et jetait des regards affolés au supérieur de son ordre. Mais ce dernier regagna sa place sans meme lui accorder un regard, comme pour dire "tu es entièrement responsable de tes actes".Le sacrificateur comprenait qu'il ne fallait pas faire attendre lo'assistance plus longtemps, sous peine de se retrouver à un billot d'ici peu de temps. Au coeur de sa panique, il imagina que le corps d'Idrial devait se retrouver aux alentours du bassin. C'est ainsi qu'il ouvra le ventre de sa victime jusqu'au nombril, mettant à nu les entrailles de la malheureuse. Cela fait, on le vit fouiller avec ses mains les intestins d'Idrial, cherchant désespérément un organe ayant la forme du coeur.

Le corps d'Idrial, solidement maintenu à l'autel par les chaines, fut agité de violents soubresauts de douleur, de la bave sortit de la bouche de la malheureuse victime. La voici plongée dans un océan de douleur, que nul ne pouvait imaginer sans le subir. Cette soufrance était largement supérieure à celle subie lors de l'arrachage du foie. On la vit tourner la tete vers Glorfindela, accrochant son regard aux yeux de celle dont elle avait été amoureuse, espérant un vain soutien. Eclaboussant l'autel et sa robe de sang, le bourreau inexpérimenté pris dans l'étau de la détresse fouillait de manière totalement désordonnée, jetant les organes inutiles à la poubelle, mettant meme à nu les cotes de victime. Toutefois, il prenait soin, malgré son esprit perturbé, de ne pas toucher au système nerveux de la sacrifiée, afin que cette dernière puisse toujours souffrir autant.

Les réactions de l'assistance étaient partagés. Les gardes orcs et Humains étaient rendus fou par cette scène de massacre, qui exitaient vivement leurs instincts de guerriers. Quelques cris d'encouragement fusèrent meme vers le bourreau, qui ne les entendis meme pas, absorbé apr sa tache. En revanche, nomre d'officiers haradrims, orientaux, orcs et autres monstres, regardaient d'un oeil glacial cette caricature de sacrifice, qui ne suivait absolument pas le protocole des cérémonies sataniques, établi par les premiers Pretres de Kharna il y a des milliers d'années ! Glaurung en particulier ne cachait pas sa colère. Lui qui était tant attaché aux Antiques Lois d'Angband, comment pouvait-il approuver ce sacrifice grotesque, qui semblait avoir été préparé uniquement pour distraire les hommes de troupes ! Car Glaurung était considéré comme le leader de la faction des conservateurs d'Angband, que leurs ennemis appelaient non sans mépris "La Reaktion", et qui s'opposaient avec virulence au Sénéchal Noir et à tous ceux qui se moquaient des Antiques Traditions.

La fureur du Dragon était palpable, meme pour ceux qui ne maitrisaient par la magie. C'est ainsi qu'il envoya un message mental d'une rare froideur au pauvre novice:

*Alors, ce coeur ? Ca viens ?*

Le malheureux arreta son travail sur le coup. Il était persuadé que le message ne venait par de Glaurung, mais de Morgoth. Que le Seigneur des Ténèbre en avait assez d'attendre, et que le bourreau serait bientot brulé vif si il n'extraiyait pas dans la minute qui suis le coeur d'Idrial. Se croyant perdu, le novice de Kharna accéléra le rythme. Cette fois, il ne disséquais plus calmment le corps de sa victime, il creusais dans la chair à coup de couteau, déchirant les vaisseaux sanguins et nombre d'organes. Des ltires de sang s'écoulèrent de l'autel, et Idrial émit un long rale discordant, sortant de ses cordes vocales affaiblies. Car son corps maltraité n'avait meme plus de force pour essayer d'échapper à ce calvaire, l'indescriptible douleur paralysant les muscles. Toutefois, Idrial parvint à lever légèrement la tete et à articuler, d'une voix presque éteinte où se melait la soufffrance et le désespoir:

-Je vous en supplie.... Tuez-moi ! Maintenant !

Mais le bourreau, obsédé par le sort qui lui était réservé en cas d'échec, ignora cette faible supplication, et creusa la chair de plus belle. On entendis alors Idrial tousser fortement lorsque le couteau effleura ses poumons. Mais soudain, le miracle s'accomplit. Alors qu'il s'appretait à ouvrir le sein gauche de sa victime, le bourreau découvrit un organe gorgé de sang, de la taille de sa main, qui ne cessaient de gonfler et se dégoinfler à grande vitesse, malgré tous les vaisseaux sanguins qui éclataient sa surface. Un battement sourd se faisait entendre aux alentorus. Un sourire malsain éclaira le visage du novice: il venait enfin de repérer le coeur de sa victime.

Cette dernière, malgré l'état de flottement dans lequel son esprit se trouvait, comprit que sa fin approchait. Et de fait, le sacrificateur ne s'attarda guère: dégainant son couteau, il commença à trancher sans pitié, un à un, les artères qui reliaient le coeur au reste du corps. Le corps d'Idrial s'agita une dernière fois, bousculé de petits soubresauts. Alors que le faible flux de sang traversant encore son corps se réduisait irrémédiablement, Idrial commençait à pouser de petits sons sans aucun sens:

-Ah... Oh... Euh...

Il s'agissais de réaction du corps, et aucun sentiment, que ce soit la douleur ou le désespoir, n'y étaient melés. Car le voile noir de la mort commençait à recouvrir le corps et l'ame de la malheureuse, tandis que son sacrificateur, affichant toujours avec arrogance son rictus, tranchait les uns après les autres les derniers vaisseaux faisant fonctionner le coeur. La plupart des assistants arborèrent également un sourire de satisfaction: voilà enfin le dénouement de ce long sacrifice. Glaurung lui-meme se plaisait à regarder les derniers soubresauts de la jeune victime, et sa colère envers la "mascarade" s'atténua.

Mais c'est alors que, à l'instand meme où le sacrificateur s'appretait à trancher le dernier des artères reliant le coeur d'Idrial au reste du corps, ce dernier battit pour la dernière fois, envoyant une grande quantité de sang dans le corps de l'Elfe et particulièrement dans le cerveau. Alors, cette dernière se redressa soudain et ouvrit grand les yeux. Un immense cri, mélange inimaginable de terreur, de souffrance abominable et de désespoir à l'état pur, un cri qui sembalit exprimer l'avenir des Peuples Libres, jaillit des profondeurs de sa gorge. Les serviteurs d'Angband au coeur mauvais présents dans la Salle n'y virent que le dernier cri d'une simple victime de sacrifice, et c'est à peine si certains d'entre eux se bouchèrent les oreilles, genés par l'intensité du cris. Mais dans les bas-fond de la forteresse, là où trimaient sans cesse de pauvres prisonniers de toutes les races s'arretèrent de travailler car, en entendant le cr d'Idrtial, une subite et violente douleur les avait sais. Ca toute personne de bien qui entendrait le cri d'Idrial, porté par la magie, ressentirait une forte souffrance, qui n'était cependant qu'une infime partie du calvaire que la malheureuse avait subi. On dit que le cri se propagea hors des murs d'Angban,d, et qu'il fit le tour de la Terrre du Milieu avant de s'essouffler au bord de l'océan, ayant perdu son intensité.

Au moment meme où le sacrificateur saisissais à pleine main le coeur encore chaud d'Idrial, cette dernière expira. Sa tete, qui s'était relevée pour crier, s'effondra, ses membres se détendirent, ses yeux se fermèrent. L'ame pure de la reine quitta bientot ce corps meurtri, et, invisible pour les Serviteurs de Morgoth, elle s'envola pour Valinor, où elle pourrait retrouver, dans les Caves de Mandos, tous les elfes décédés avant elle. Mais au moment meme où la jeune elfe mourut, un nouveau prodige se déroula sous les yeux médusés des assistants: du cercle entouré de symbole, tracés au pied de l'autel par les Pretres de Kharna, sortit soudainement un gigantesque rayon vert qui s'éleva en spirale dans le ciel. Car il s'agissais d'un laser de la mort, phénomène magique exeptionnel, qui ne pouvait etre actionné que par la mort atroce d'un etre au coeur pur. Sous les yeux médusés de Glaurung et des autres assistants, le rayon fendit les nuages, avant de se diviser entre deux branches. Entre ces deux parties du rayon, on ne pouvait rien apercevoir. Il ne s'y trouvait que du noir, le noir le plus absolu. Car en réalité, il s'agissais d'un portail, destiné à Ancalagon le Noir, qui venait d'etre ouvert.

Mais alors que tous étaient pris par la contemplation du Portail, le palantir d'Orthanc s'anima. Différentes effluves de totues les couleurs s'animèrent au centre de l'orbe, puis finalement, une voix puissante surgit du néant:

-Melkor... Pauvre malheureux... Qu'as-tu encore fait ?

Glaurung trembla, pour la première fois de son existence de Dragon, face à cette voix. Car il s'agissais de Manwe Sulimo, le Roi d'Arda, à qui rien n'échappais, qui venait s'adresser à Morgoth, son frère renégat...

Il avait essayé, essayer de la protéger, de tourné l'attention des maitres noirs sur lui plutôt que sur la pauvre prisonnière mais tout ce qu'il avait gagné était un superbe et terrible mal de crane qui ne semblait pas décider à se calmer. Lorsqu'il lui avait parut que ses efforts ne servaient à rien il avait trouvé refuge près de glaurung et s'était tenu en retrait. Mais il semblait que l'univers se retournait contre lui, sa vision était brumeuse et le moindre bruit provenant de la salle semblait avoir un étrange écho comme si ils venaient d'un autre monde ... La salle fut soudain emplit d'ombre et les êtres qui s'y trouvaient ressemblait à de minuscule feu follets argentés, noir et rouge. Des créatures grotesques et difformes suintaient des coins de la salle, des artifices de magie noire disposaient devant le trône de Morgoth. Celui ci, dans la fièvre qui attaquait ses senses, ressemblait à un gigantesque insecte gonflé de l'énergies de milles soleils, une pure vision d'horreur et de cruauté. Annatar tomba à genoux, incapable de se soutenir et ayant à peine l'énergie de continué à respirer. il cessa précipitamment d'alimenter ses propres protections, il laissa ses sortilèges prendre fin, et se concentra sur l'objectif unique de rester en vie. Alors qu'il parvenait enfin à se reprendre il reçu un message de la part de glaurung :

*L'état mental du Seigneur des Ténèbres doit être dramatique pour qu'on en sois là !*

Alors qu'il s'apprêtait a répondre une nouvelle vague de faiblesse le laissa pantelant et avide d'air, son esprit étouffait sous la pression ... il tenta de prévenir le dragon de se qui lui arrivait mais sa voix mentale, ou se qui lui permettait de l'utilisait semblait avoir disparu. Il paniqua à cette pensée et chercha n'importa quel moyen qui lui offrirai la possibilité de sauver sa peau.
Le cantique des mages de officiant cessa soudain et il senti la pression diminué, lui allouant une respiration plus aisée qu'il accueillit avec bonheur. Il jeta un regard au travers de la salle, s'attardant longuement sur la silhouette du sénéchal. Un mélange de dégout et d'autre chose d'indescriptible le saisi alors qu'il observait son ennemi et rival, " un ennemi vraiment ?" pensa t'il, ou juste une cible de son orgueil surdimensionné ? il n'aurai su le dire et il éprouva le besoin de pouvoir parler à l'un des siens, de dire se qu'il retranchait en lui, de se vider de se qu'il ressentait et de pouvoir penser en paix comme auparavant. Son regard passa ensuite sur l'autel ou la pauvre idrial venait de retrouvai ses esprits et expérimenté une terreur sans nom. Le cri de pure souffrance qui retentit dans la salle le tira de sa contemplation, et il tenta de comprendre ce qui se passait. Le mage officiant à l'autel tenait un organe rouge et palpitant dans ses mains ensanglantées, un organe qui n'était pas un cœur. L'elfe senti une puissante nausée monter en lui et son esprit se brouilla de nouveau, de meme que ses yeux, noyé de larmes de douleur. Il se sentait déchiré en deux, disloqué et perdu; il n'avait plus le sens du temps et de l'espace, ni de la peur ou de la haine, plus de plaisir ou de fatigue, plus ... rien ... juste l'horrible impression d'empathie pour idrial sur l'autel, juste le désespoir de glorfindel et l'horrible présence de Morgoth.
Il préféra plonger en lui même, incapable de supporté sa condition ...

Annatar

il était entouré d'ombre et flotté dans le néant de son propre esprit, un silence de mort pesant sur lui. Sa forme etherique, couleur violine, semblait émettre sa propre lumière froide et sans vie, reflétant son être; après de longue, interminable minute qui n'étaient que des secondes dans le monde de la chair, il ouvrit ses yeux aveugles et fut happé vers ses souvenirs.

Annatar

Il était seul, et il n'avait aucun pouvoir la ou il se trouvait, la colère et l'anxiété lui noué la gorge et l'aveuglait. Tout était rouge comme si une gigantesque bataille s'était déroulée la, et pourtant il n'y avait que le vide et une fumée noirâtre à perte de vu. L'odeur de la chair brulée et de la mort lui monta au nez, l'environnement l'aurai apaisé en temps normal mais pour l'instant il tentait de comprendre ce qui lui arrivait hors des limites de son esprit.

....

Il résista à l'envi de se plongé dans son passé et fermement, conduisit son esprit vers son but, il savait qu'il devait a tous prit se reconstitué ou il ne serai plus qu'une marionnette sans aucun intérêt. Il avait de moins en moins de force et le brouillard qui l'entourait semblait de plus en plus épais au fur et a mesure de sa progression.

....

Son ire et son impatience grandissaient à une vitesse jamais atteintes et il semblait qu'il allait exploser s’il ne trouva pas le moyen de se protéger. L'idée de resté enfermé comme un lâche à l'intérieure de son esprit jusqu'a se que glaurung ou même morgoth l'en sorte le mettait au supplice. Alors qu'il allait, une fois de plus se mettre à ruminer, il sentit la résistance qui le retenait se dissiper et il plongea hors de la prison qui le retenait et directement dans le monde réel.

Il rouvrit les yeux et découvrit de nouveau la salle du trone, mais sa vision améliorée pouvait à présent apercevoir le moindre détail de la pièce, son odora captait les effluves de sang, de peur et de souffrance de la sacrifiée. Celle ci ne semblait plus du tout belle, et pas parce que ses viscères pendaient sur la pierre qui la soutenait, mais parcequ'un voile gris et haineux couvrait tout son être. Un voila qui enveloppait la salle entière et qui teintait toute chose de filigranes et de fumeroles colorés. Morgoth lui était à peine visible sous la brume noire qui l’entoura, le sénéchal brillait d'un feu orange et les écailles de Glaurung brillaient d'une lueur mordoré et rougeoyante. Annatar ouvrit les yeux, stupéfait, et contempla le trou béant qui s'ouvrit soudain dans la salle alors que la reine de lothlorien poussa un dernier, terrible, cri d'agonie. Un sourire cruel étira ses lèvres alors qu'il savourai l'instant de triomphe, admirant le portail qui devait ramenait leur frère disparut à la vie et la secousse du cri d'idrial résonnant toujours, il prit une profonde inspiration et se délecta de la tension magique de la salle. Il se tourna légèrement vers son compagnon et observa celui ci ...

" Glaurung ?"
....

Il y était arrivé à retrouver son corps, mais à sa grande horreur il ne pouvait contrôlait ses mouvement, ou plutôt, il les contrôlait déjà ... La panique qui le saisi fut sans comparaison avec ce qu'il avait plus vivre dans le passé. Il tenta de communiquer avec ses allier mais la encore, son esprit semblait déjà agir de son propre chef et il se retrouvai bloquer. Au travers d'un sombre rêve, il vit les derniers instants d'idrial et sa fin tragique, il ressentit sa mort et lui voua une pensée, espérant que la ou elle se rendait elle serait en paix. Le portail attira son regard comme un puits sans fond, il sentait la présence qui bougeait et son désir de revenir dans le monde d'arda. Une peur malsaine s'insinua en lui et il cessa de se battre, se contentant de regarder la scène impuissant et abattu. Alors que tous retenait leur souffle il se décida à agir et passa au travers de la barrière mentale qui l'avait maintenu inactif, et qui ne lui prêtait plus attention désormais. Il atteignit le premier esprit qu'il put et enfonça en lui une unique pensée ...

"Aider moi "

Tout se qui lui restait de force s'envola et il tomba dans une triste léthargie.

....

Il l'avait laissé échapper, son inattention lui avait couté un prix qu'il n'était pas encore en mesure d'appréhendé mais il était sur qu'il n'en ressortirait rien de bon. Mais il n'eu pas le temps de s'en préoccupait outre mesure car le palantir s'illumina et une voix qu'il n'aurai jamais cru entendre de nouveaux résonna au travers du grand hall.

-Melkor... Pauvre malheureux... Qu'as-tu encore fait ?

Il trembla de tout son corps en se rappelant a qui la vois appartenait, Manwe frère de Melkor et roi des Valars. Une peur si ancienne et si profonde l'emplit qu'il eu soudain envi de s'enfuir à toute jambes et de se boucher les oreilles pour ne plus entendre l'écho des parole de l'arratar. Si pleine de puissance et de lumière, de bonté et de pitié que ses seul paroles étaient une torture pour son esprit ravagé; elles s'inscrivaient aux fers rouges dans ses oreilles, lui ravageaient le cerveau et l'empêchait de bouger. Il était la lumière et cette lumière venait d'entrée au cœur le plus intime des ténèbres ... Il ne pouvait y croire, il ne voulait pas y croire, car la signification que cela possédait était trop terrible pour lui.

# Non pitié pas encore ! Pas encore une fois je vous en supplie ! C’est impossible .... "

il restait la, figé tel une statue, son souffle restait coincé dans sa poitrine et il senti son esprit se disloquait sous la tension dans la salle. il laissa échapper un sourd grondement et se libéra de l'état second dans lequel il était plongé. il se glissa dans les ombres et traversa la salle pour se tenir près de Morgoth.

[ HRP : Erm ben voila c'est poster .... ]

Invité

Le gobelins avait assisté au rituel depuis le début.La séance du charcutage de l'elfe l'avait fortement plus , voir le pauvre être souffrir sans aucune possibilité d'échappatoire.Et s'attendait a une finale ... Plus Trash ... La métamorphose de l'elfe l'avait dégouté.Il ne comprenait pas dans quel logique allait ses maitres ? Transformé une oreille pointue en femelle !? Quel intérêt alors qu'il y aurait eu mille et deux façon de le faire tordre de douleur.Une fois de plus il rejoignit l'opinion de ses confrère au fait que les forces du mal s'affaiblissent.La boucherie dura pendant un moment , ce qui ne déplaisais en aucun cas le sorcier et au contraire.

On lui avait parlé de la résurrection du dragon noir calgon ... Ou un truc dans le genre.Une fois tout ceci terminé , le goblin s'ennuyait.Il décrocha une énorme boule de morve de son nez crochue.Une lumiere surgit d'on ne sais ou il devint anxieux et lorsque qu'il entendit une voix parlait.

-Melkor... Pauvre malheureux... Qu'as-tu encore fait ?

AAAAAAAAH , On vas tous mourir !!!Il s'agita et courut dans toute la salle et arriva devant Glaurang tapa sa cuirasse d'écailles.

Bwaaaaaaaaaaahh au secouuuuuuuuuuurrsss !Il repartit , se prit un mur et vint quérir l'aide d'annatar.
AAAAAAAAHH !Et essaya de d'activé un cours instant sa cervelle gobeline.Mais c'est qui qui cause en faites ? Questionna t-il en se grattant la tête.

Le sacrifice de la jeune fille avait plus tourné à la farce lamentable qu'à la véritable cérémonie rituelle. Non seulement le novice c'était trompé, mais il avait du en mettre partout avant de s'en sortir finalement... Les réactions vis à vis de ce carnage sanguinolant était variée...
Pour le Sénéchal, cela ressemblait à "Quel gâchis...", et Morgoth, lui.. "Quel gaspillage ! Mais j'aime bien les cris !". Le manque d'appréhension du fils d'Harkand vis à vis de la viande froide était tout ce qu'il a de plus professionel, il préférait que ça bouge pendant l'action mais ça s'arrêtait là, il n'avait évidement aucune notion de moralité.

*Tiens, il a ses règles...*

Ca c'est le Sénéchal qui songe à la souffrance apparente d'Annatar. Ce petit elfe pathétique devait être sujet à une quelconque souffrance de bonnes femmes, il était si faible... aussi bien de corps que d'esprit. Il se croyait son égal, mais il ne faisait que parasiter la puissance d'un ancien seigneur des ténèbres. Sauron avait échoué en son temps, il n'était donc guère plus que le pâle reflet d'un passé oublié. Il méprisait le Sénéchal pour sa naure humaine, mais ses grandes oreilles ne faisaient pas de lui un héros des forces du mal. Et son manque de pouvoir n'avait qu'une seule et unique cause aux yeux du bras droit de Morgoth : Il possédait encore cette petite trace de lumière héritée de sa race. Il ne s'était pas livré corps et âme à la cause de la destruction. Il ne prenait même pas plaisir à voir la souffrance, il ne jouissait pas devant la mort et il ne s'abaissait pas aux pires bassesses pour son simple plaisir. Au fond, même ce sac à main de Glaurung valait mieux que lui. Ce vieux lezard était sans doute différent de lui, mais il était corompu à sa manière.. Chacun sa vision des choses disons.
Morgoth le regardait d'un air méprisant. Comment un de ses précieux généreux pouvait-il s'écrouler de la sorte en pleine cérémonie sacrée ? Il subirait le courroux réservé aux faibles, mais il aurait le temps de le punir plus tard... Ou alors il le confierait à son enfant, qui se ferait sans doute un plaisir d'avoir une petite discussion avec cet elfe qui le haïssait tant. La naissance du Sénéchal avait d'ailleurs causé un effet innattendu dans l'entourage de Morgoth : tous ses serviteurs s'unissaient maintenant pour détrôner ce nouveau venu aux pouvoirs si titanesques. C'était une alliance innattendue et ô combien amusante. Il se délectait de voir ces idiots travailler ensemble pour la première fois depuis des milliers d'années...
Il songeait à cela lorsque son palantir vibra dans sa poche...
VrrrVrrr

-Attendez je décroche, deux secondes.

*J'espère que c'est pas une de ces conneries de sondage*

Il sortit la pierre de vision d'une immense sacoche accorchée à sa ceinture. Il appuya sur le sommet

-Allo ? Morgoth à l'appareil, Seigneur des Ténèbres et Fléau à mi-temps. Notre salle de torture est ouverte tous les jours, dimanche et jours fériés.

Tous purent voir et entendre la voix d'un lointain ennemi... Sa blancheur immaculée remplissait cette pièce d'ombre pure d'un halo doré.

-Melkor... Pauvre malheureux... Qu'as-tu encore fait ?

C'était Manwë, le frère de Melkor, le pire ennemi qu'il ait jamais eut lors de la grande guerre.

-Frérot ? Mais qu'est-ce que tu fais là ?

-Je viens arrêter tes bêtises...

-Mais quelles bêtises ?

-Tu veux détruire le monde patate !

-Eh ! J'te rappelle que tout cela est arrivé à cause de toi !

-Mais... mais pas du tout !

-La vérité c'est que tu es un egoïste Manwë et que tu l'as toujours été ! Déjà quand on était petit tu me piquais mes jouets !

-C'est même pas vrai d'abord !

-T'as toujours été le chouchou c'est pas juste !

-Roooh arrête de te plaindre chochotte!

-Tu sais très bien que tout cela ne serait jamais arrivé si tu m'avais pas refilé la Valar moche qui pleure en gardant les mignones rien que pour toi et tes potes !

Le Sénéchal Noir, qui écoutait ça d'une oreille attentive, intervint subitement

-Attendez... Vous parlez de quoi au juste ?

-C'était il y a très longtemps...

-Dans une galaxie lointaine

-Ta gueule.

C'est le moment d'un merveilleux flash back comme seul mes rps peuvent vous en propose un avec effet noir et blanc et floutage assuré avec un changement de décor que même les plus grands scénaristes m'envient de part le monde !
Oui, on les voit tous les deux adolescents... Juste avant la première guerre. C'est le jour où les couples vont se former pour l'éternité, que les Déesses e les Dieux vont s'unir pour déterminer le destin du monde.
C'est Manwë, alors chef du groupe, qui décide des groupes. Son petit frère, Morgoth, toujours puceau, attendait avec impatience ce moment où tous allaient pouvoir perdre leur virginité honteuse. Enfin la délivrance allait sonné et ses délires de prépubère devenir une réalité profonde.
Mais il fut trahi...
Son aîné, dans toute sa méchanceté, lui désigna la pire des compagnes... Une femme triste, plate, sans courbes et sans intêret dont le seul passe temps était de chialer sur son sort et celui d'Arda toute entière. Autant dire que sa nuit de noces se finit avant même d'avoir commencée... Il tenta ensuite avec une mortelle, mais découvrit que son statut divin réduisait sans exception la malheureuse en cendres fumantes... Et c'est alors qu'il déclara

-Alors... Je ferais le Mal ! Les Ténèbres s'abattront sur ce monde tant que je n'aurais pas éliminé tous mes confrères masculins et qu'enfin je pourrais profiter de la féminité ! Le monde sera à moi, et leurs fesses aussi mouahahahha ! Je me vengerais Manwë ! Je me vengerais !

Retour au présent...

-Snif... snif... C'est trop triste comme histoire...

-Ne pleure pas mon fils...

-Mais elle me file le cafard... C'est trop cruel...

-Oui je sais

-Oh ca va les pleureuses ! Ce n'est pas du tout comme ça que ça c'est passé !

-Ah ouai ?

-Ouai !

-Et ben on va demander à papa tiens !

-Je le contact en double appel attend...

Nouveau coup de fil

-Papa Illu ?

Spoiler:

-Papa on a besoin de ton arbitrage !

-Je suis trop cool pour vous parler...

Tut tut tut

-Il a raccroché le imbécile !

-Et ben...

HRP: Bon, j'ai bien compris que plus personne n'avais envie de poster sur ce sujet. Voici donc un petit post pour clore le rp ^^

Juste après l'appel d'Iluvatar, l'esprit de Manwe Sulimo quitta le palantir, et un silence de mort s'abbatit sur la Salle du trone, tandis que le corps d'Idrial achevait de se vider de son sang. Tous les officiers des ténèbres (les simples soldats, étant d'une stupidité proverbiale, n'avaient rien comprit à l'histoire) étaient choqués par els révélations de Morgoth. Glaurung en était le premier, et il le fit savoir à Annatar:

*Qu'est-ce que cela ? Depuis des millénaires nous nous battons avec acharnement, nombre d'entre nous sont tombé au combat...pour satisfaire les fantasmes sexuels de ce frustré qui nous sert de Dieu ?*

L'attaque était violente. Jamais un serviteur des Ténèbres, encore moin Glaurung, qui était réputé pour sa dévotion au mal, n'avait osé parler ainsi de son maitre. Mais l'heure était grave. Tous comprenaient à présent qu'ils avaient été joués depuis le début, que le monde avait été perverti à cause de la stupide histoire de deux gamins qui se disputent une fille ! Dégoutés, les officiers commencèrent à quitter en silence la salle.

Si, malgré ces révélations, la foi de certains en l'avenir de l'Ombre n'était pas ébranlée, beaucoup venaient de se détourner de cette Angband laxiste incarnée par le Sénéchal Noir et son pantin Morgoth. Les rangs de la "Reaktion" venaient de se renforcer de plusieurs dizaines de commandants parmi les plus compétents de l'Armée, ayant sous leurs ordres des centaines de guerriers dévoués, controlant des territoires parfois immenses... Désormais, l'affrontement entre conservateurs et progressistes du Mal était inévitable. Ainsi, la Dagor Dagorath s'ouvrirait par le duel sans merci entre deux clans d'un meme Camp, dont un seul sortirait vainqueur...

Glaurung le Dragon fut l'un des premiers à quitter la salle. Par dégout, certes, mais aussi par intéret, le commandement d'une expédition contre les nains des Monts du fer venait de lui etre confié. Bien qu'il soit forcé de partager ce comandement avec Annatar et Sharnlock, l'idée de repartir à nouveau en guerre n'était aps pour lui déplaire. Surtout, si les Monts du fer tombaient, la gloire qui rejaillirait sur le Dragons (et ses alliés) serait telle qu'un soulèvement armé contre le Sénéchal Noir et sa clique qui manipulait ainsi Morgoth pourrait alors etre sérieusement envisageable.

Mais alors que tous quittaient la salle du trone sans se retourner, le rayon verdatre s'élevant vers le ciel se scinda en deux. Un portail venait de se former entre le Monde des Morts et celui des Vivants ! Un rugissement de dragon se fit entendre, et Ancalagon le Noir en sortit bientot. Mais les seuls témoins de la scène, en dehors des pretres de Kharna, furent Morgoth et le Sénéchal Noir...

HRP: et oui, Ancalagon n'apparaitra pas tout de suite à vos petits yeux impatients ! Je laisse à Adrix le soin de le mettre en scène dans l'un de ses prochains rps...

» Un combat, un mort ...