La Bataille d'Osgiliath /-/

Un jour timide se levait sur la cité en ruine d'Osgiliath. Les soldats de la garnison gondorienne et les civils réfugiés ne s'étaient pas encore éveillés, seules les vigies patrouillaient d'un pas discret dans les rues. Un curieux silence régnait. Radagast le Brun discutait avec l'Intendant Elboron, leader incontesté de la résistance Gondorienne, sur le pas du Dome des Etoiles.

Leur conversation fut brusquement interrompue par un Adrix tout fier, qui sortit du batiment et s'avança vers eux. L'air satisfait de lui, il leur raconta comment il avait regardé à travers le palantir d'Osgiliath, pour rencontrer un gentil monsieurs à qui il avait parlé en détail de la mission tout en révélant la présence des Rodeurs à Osgiliath. A l'annonce de ces paroles, l'effet sur les spectateurs ne fut pas celui escompté. Radagast devint tout d'abord blanc de stupeur (il ignorait que Adrix pouvait se montrer aussi pas intelligent) avant que la fureur ne colore en rouge pivoine son visage, lui pourtant d'ordinaire si calme. Mais ce fut Elboron qui réagit le plus violemment. Tremblant de colère devant la betise phénoménal du prince-paysan, qui venait de condamner à mort tous les habitants d'Osgiliath, il n'hésita pas à le saisir par les épaules et à le secouer comme un prunier:

-Qu'avez-vous fait, misérable, qu'avez-vous fait ! Pauvre crétin ! Imbécile ! C'est au Roi Noir en personne à qui vous avez parlé ! Ne vous avais-je pas répété à de nombreuses reprises de ne pas vous aventurer aus econd étage ? Il ne faudra que peu de temps avant que l'Ennemi ne se mette en marche pour anéantir ce refuge que nous avons tant peiné à batir !

Cette attitude pouvait paraitre insolente de la part de l'Intendant de Gondor à celui qui deviendrait un jour son roi. Mais pour l'instand, Adrix n'était qu'un bouseux fiancé par hasard à la reine, et le fils de Faramir n'avait aucun compte à lui rendre. Et quand bien meme, du temps qu'Eleanor resterait mineure, c'est lui, le Surintendant du Royaume réunifié, qui assurerait la régence: il avait tous les pouvoris en mains.

D'une voix où pointait une peur certaine, Elboron demanda à un soldat passant à coté de lui:

-Sergent, commencez l'évacuation ! Immédiatement !

C'est alors qu'un sifflement singulier se fit entendre. Bientot, une énorme pierre d'au moins trois mètres de rayon déchira les cieux, se dirigeant vers Osgiliath telle une fusée. Dans un bruit sourd, elle s'abbatit devant le Dome des Etoiles, à l'instand meme où Gandalf se tenait quelques instands auparavant. Malrgé toute sa magie et tout ses exploits passés, le Mage Blanc ne put éviter le projectile meurtrier, et fut aplati comme une crepe par la lourde pierre. Voilà comment mourut définitivement Gandalf le Blanc, sauveur des Peuples Libres, que l'innactivité avait condamné à une mort certaine...

Cependant, pour l'heure, les habitants d'Osgiliath se souciaient fort peu de la santé de Gandalf. Leur visages s'étaient fait blanc à la vue de cette pierre venue de nulle part. Mais quelques instands seulement, une voix noire se fit entendre par-delà les murailles de la cité:

-Rendez-vous, ou gare au massacre !

A cette annonce, tous se portèrent aux murs de la ville, pour apercevoir, blanc de frayeur, le sinistre spectacle qui se déroulait sous leurs yeux. A perte de vue s'étendaient des légions de Haradrims, d'Orientaux, d'hommes d'Umbar de Khand. Des milliers, des dizaines de milliers de mauvais hommes qui encerclaient à présent l'infortunée cité. Les forces des ténèbres n'avaient pas perdu de temps après la bourde de Adrix: prévenus par leurs maitres de la présence de rebelles à Osgiliath, les généraux de Morgoth avaient rassemblés en hate toutes les troupes disponibles pour en finir une bonne fois pour toute avec le dernier bastion de la Résistance Gondorienne. Parmi cette horde de guerriers se trouvaient quelques dizaines de Mumakils de Harad, montés de leurs terribles tours, au sommet desquelles avaient été installées de puissantes catapultes. Deux armées étaient dispersées sur les rives orientales et occidentales, prenant la cité sur deux fronts.

A la suite de ce premier tir, les catapultes installées sur els dos des mummakils firent feu toutes en meme temps. Un effrayant nuage de pierre entacha le ciel d'Osgiliath, avant de s'abbattre dans un épouvantable fracas sur la cité martyre. Jamais, meme pendant la terrible Guerre de l'Anneau, Osgiliath n'avait subi un bombardement aussi intensif. Les catapultes tiraient et tiraient, les pierres sifflaient et s'abbataient, écrasant les maisons et leurs occupants. Une pierre, ayant survécu à l'impact, roula dans une rue, écrasant au passage trois soldats de Gondor et une réfugiée qui ne s'étaient pas abrités assez vite. Un veritable enfer s'était abbatu sur la ville. La défense gondorienne était paralysée: les archers ne pouvaient ajuster leur tir et la plupart des catapultes et des balistes avaient été détruites. Le Dome des Etoiles seul fut épargné par les pierres: Radagast y avait disposé le soir-meme un sortilège puissant pour protéger ce chefs-d'oeuvre d'architecture, érigé en symbole national par les derniers Gondoriens. C'est à l'intérieur de ce dernier que se réfugièrent par ailleurs els membres de la Communauté du Silmaril.

Heureusement, les artilleurs haradrims étaient quelque peu fatigués en ce début de journée, et n'appliquaient pas avec assez de rigueurs leurs leçons de balistiques. De ce fait, beaucoup de pierres tirées depuis la rives droites ne s'abbatirent pas sur Osgiliath telles qu'elles auraient du, mais sur la rive gauche du fleuve, où se trouvaient la deuxième armée des mauvais hommes. Les artilleurs de la rive gauche ne furent guère plus habiles et, lorsque le général ennemi fit cesser le bombardement après cinq minutes, les pertes humaines des Mauvais Hommes étaient nettement supérieures à celles des défenseurs.

La voix dudit général s'éleva à nouveau. une voix de stentor, autoritaire et implacable, marquée par l'accent du Sud. L'homme s'était hissé sur un promontoire rocheux et s'était armé d'une espèce de mégaphone pour mieux se faire entendre.

-Reine Eléonor, je sais que vous etes ici ! Rendez-vous avec vos compagnons, et je saurais me montrer magnanime: la garnison d'Osgiliath aura la vie sauve !

Mais il ne garantissait rien pour la reine et son entourage...

Invité

Galadril avait eu vent des actes des quelques soldats qui avaient provoqués l'attaque sur Osgiliath. Dans le ciel qui survolait la cité, quelques boules de feu passait mais sans avoir de retomber sur la cité, les haradrimes et mauvais hommes étaient de plus en plus nombreux au fil des heures, chaques mimutes semblaient précieuses. Les pertes d'hommes et de nains étaient faibles mais se comptaient malgré tout. Les mumakils tournaient sans arret devant la cité, les portes de chaque entrée de la cité étaient fermés, vérouillés et protéger, les remparts plein de troupes défendant les murs, les catapultes détruisant et écrasant les troupes ennemis, détruisaient et tuaient quelques mumakils ...

_ Pourquoi tant de folie, cette bataille est perdue, mais nous avons toujours résistés, disait Galadril sur une des tours du Gondor devant beaucoup de soldats. Nous sommes humains et non des orcs puant, nous connaissons l'amour, la gloire ... Et nous nous battons depuis des siècles contre eux alors reprenons le deçu des actes actuels. L'age des hommes ne doit pas tomber alors battez vous au maximun et A L'ATTAQUE !!!!! criait-il. Faite venir mes fidèles cavaliers.

Après avoir dit se qu'il éprouvait, Galadril fait venir la cavalerie avec la qu'elle il était venue à Osgilliath, avec laquelle il defend les derniers hommes ayant survécut. Il allait ensuite dans sa tente mettre son armure luisante et brillante, mettre son épée forgé par les elfes, et montait après sur son destrier venu directement du Rohan, des dernières terres qu'ils restent. Une heure plus tard, les cavaliers couraient en direction d'une des portes ou il ferait gagner du temps au fenceur avec quelques soldats assez fou pour se joindre parmi eux. A chaque passage d'eux, les habitants disaient : " Regarder, ils vont sur le front, à l'extérieur de la ville". Tout cela semblait non réelle, et pourtant.

[ De l'action !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!xD]

Le rôdeur, comme tous les autres membres de la compagnie s'était réfugié dans le Dôme des Etoiles. Les ennemis des peuples libres étaient aux portes de la cité rebelle. Comment avaient ils pu savoir où est ce que celle ci se trouvait, il l'ignorait. Mais de toute façon, chercher un ou une coupable ne servirait à rien. Dans tous les cas, il y avait des milliers d'ennemis aux pieds des remparts de la cité. Que fallait il faire ? Se battre. La cause était certainement perdue d'avance, mais si HeimDhall devait mourir, ça serait en plein combat. C'est pour cela qu'il monta en rempart, s'exposant aux tirs ennemis, pour mettre à contribution aux Gondoriens ses talents d'archer. Les Orientaux et autres envahisseurs semblaient avoir étaient tellement peu habile au tir à la catapulte qu'ils s'étaient eux même tué avec leurs projectiles. C'était peut être l'occasion de profiter de la situation. Déjà, certaines de leur troupes s'élançaient à l'assaut de la cité. HeimDhall s'arrêta de tirer et un plan rapide fut mis en place par son cerveau. Il ne fallait pas sortir, il valait mieux se lancer dans une guérilla urbaine plutôt que dans une guerre ouverte sur un champs de bataille. Mais s'il préférait la mort glorieuse sur le champs de bataille, il préférait survivre à cette confrontation, et mourir plus tard.

C'est à ce moment là qu'il vit Galadril s'élançait à la charge, il allait passer la porte avec sa troupe de cavalerie lorsque le rôdeur se jeta sur lui et le renversa de son cheval. De suite les soldats pointèrent les lances, le menaçant. Il se releva doucement alors que le Gondorien lui criait dessus, lui ordonnant de s'en aller.

" Galadril, je ne suis pas un général glorieux ni talentueux, mais je ne suis pas idiot pour autant. Si vous sortez, vous mourrez à tous les coups, dans la gloire et l'honneur, mais vous condamnerez cette cité ! Il faut rester à l'intérieur et se battre dans tous les ruelles. Leur Mûmakils ne pourront rentrez dans l'enceinte de la cité tant qu'il n'auront pas détruit une partie du mur, et ça prendra plusieurs jours. Si nous attirons leur troupes ici, et les exterminons à force de combat urbain, il ne nous suffira plus qu'à tuer les Mûmakils qui ne seront presque plus protéger, leur troupes ayant été engagées dans les combats urbains. Nous serons certes obligé de résister à un bombardements incessants mais nous avons plus de chance de réussir en faisant ce que je dis plutôt qu'en allant au devant de notre mort sur le champs de bataille. Il faut dire à toute la population d'ériger des palissades dans les rues et des barricades. Pendant ce temps, il faut se battre sur les remparts, et en tuer un maximum. Dès qu'une brèche apparaît, il faut se replier sur un niveau inférieur !"

Il ne préféra pas attendre la réponse, il s'en alla parler au peuple. Il devait réunir de petites unités et leur assigner une tâche précise. Pendant qu'il réunissait un maximum de soldats pour aller se battre près de la porte, il ordonna de bâtir des palissades. Les habitants, malgré le bombardements, s'exécutèrent dessuite. Déjà, les rues formaient de vraies étaux où il serait facile de tuer les Orientaux. Les combats faisait rage sur le remparts, les Orientaux avaient commencé de monter sur des échelles pour progresser sur les remparts et capturer la porte. Les Gondoriens les repoussaient avec difficultés, mais leur nombres faiblissait de minutes en minutes.

Malgré la proposition de réddition de Harkand à Eléonor, les Gondoriens se doutaient bien que le général haradrim ne tiendrait pas sa promesse d'épargner la garnison d'Osgiliath. Déjà des Orientaux s'étaient élancés à l'assaut de la partie Orientale d'Osgiliath, où Galadril et HeimDhall se trouvaient. Le rodeur retint le capitaine de Gondor au moment où ce dernier se préparait à charger: il était en effet peu prudent de sacrifier inutilement sa vie comme Galadril s'appretait à le faire. HeimDhall avait organisé la résistance sur els repmparts, mais les Rodeurs et els soldats de Gondor étaient bien trop nombreux pour faire face aux Orientaux, de plus en plus nombreux, qui leur arrivait par des échelles. De plus, certains défenseurs n'étaient que des conscrits sans expérience militaire qui s'étaient engagé dans la résistance par désir de revanche.

Alors que HeimDhall se battait toujours avec plus de férocité contre l'envahisseur, la voix d'un héraut de Gondor se fit entendre au-dessus du tumulte de la bataille:

-Repliez-vous sur la partie orientale, ordre de l'Intendant ! Vite, les ponts seront détruits d'ici quatre minutes !

Ayant réceptionné le message, la plupart des guerriers Gondoriens abandonnèrent leurs postes et se précipitèrent à travers les rues d'Osgiliath, entrainant avec eux les groupes de civils terrorisés. En effet, Elboron et Radagast, qui avaient désormais en main le commandement de la place forte d'Osgiliath, avaient décidé qu'il serait plus aisé de défendre la partie occidentale de la ville, plus petite, que la cité elle-meme. L'ultimatum d'Harkand leur ayant apporté un court délai, le Surintendant du Royaume Réunifié avait fait passer l'ordre à tous ceux se trouvant sur la rive orientale, guerriers et réfugiés, de se réfugier dans la partie occidentale. Mais au-delà de quatres minutes, les sapeurs abbatraient les deux ponts enjambant le fleuve Anduin, afin d'interdire à l'ennemi le passage evrs la rive occidentale. Affolés par ce court délai, des dizaines d'hommes, de femmes et d'enfants se bousculaient déjà sur les ponts en ruines

Tandis qu'autour de Galadril et d'HeimDhall tout le monde fuyait sans demander son reste, un petit groupe d'une quinzaine de soldats de Gondor (dont quelques archers) et d'une dizaine de civils s'approchèrent des deux officiers. Un guerrier, qui arborait le grade de sergent, prit la parole d'un ton respectueux:

-Messeigneurs, mes compagnons et moi avons préféré unir nos forces pour parvenir aux ponts plutot que de nous replier en désordre. Sauriez-vous nous conduire jusqu'au fleuve ?

Alors qu'HeimDhall avait rallier Galadril à sa cause, et qu'ils combattaient sur les remparts avec une troupe de soldats encore fidèle et ayant encore de l'espoir, tout le monde fuyait, chacun voulait se sauver et voulait passer les ponts avant que les sapeurs ne détruisent les ponts engendrant l'Anduin. La panique était telle que bon nombre de soldats, dont la panique s'était emparée, courait vers le fleuve pour se sauver. Même eux avaient été corrompu par la peur, de telle façon que les civils ne les importés plus, certains se frayaient un passage en poussant des femmes et des hommes dans le fleuve. Tous ne pensaient qu'à une chose : sauver leur misérable vie. Vu que les unités armées fuyaient, certaines portions de rempart n'était plus protégée, et déjà, les premières vagues d'Orientaux commençaient à prendre contrôle de certains postes. HeimDhall s'en rendit copte à temps et il ordonna de se replier pour protéger. Les éclaireurs Orientaux commençaient à rattraper les colonnes de fuyards. Ce fut à ce moment là que le rôdeur s'élança à l'attaque pour les repousser. Ils étaient au niveau du Dôme des Etoiles. Dès qu'ils en eurent finit avec les éclaireurs et qu'ils virent d'autres unités arriver, HeimDhall se retourna vers les ponts et cria :

" Tous aux Ponts !!! Ne cherchez plus à vous battre, tentez de rejoindre les autres !!!"

Les plus lâches, ou les moins courageux, des Gondoriens obéirent sans réfléchir, et se replièrent à leur tour. Plus de la moitié des résistants étaient passés lorsque soudain, les sapeurs de voulant plus attendre et ne plus prendre aucun risques, ils firent s'effondrer les ponts. Quelques soldats qui passaient à ce moment là tombèrent dans les eaux tumultueuses de l'Anduin. Seul une vingtaine d'hommes, des courageux et d'autres n'ayant eu le temps de traverser, étaient encore avec lui. Galadril semblait en vouloir à HeimDhall pour l'avoir empêcher de charger. Ainsi, il ne semblait plus assumer le rôle de leader des quelques soldats encore présent, ceux ci ayant accorder leur confiance au rôdeur pour les sortir de ce foutoir.

" Vite, il faut rejoindre le Dôme des Etoiles, c'est notre unique chance de réussir !!"

Dessuite, tous obéirent, mais pour cela, il fallut quand même se battre, enfin, ils atteignirent le Dôme. L'homme du nord ordonna dessuite que l'on barricade un maximum d'entrées et de fenêtres. Tout le monde obéissait.

" Vous vouliez mourir avec honneur ? Vous le serez bientôt, ne vous inquiétez, mais avant, j'ai une faveur à vous demander, emporter le plus d'Orientaux avant de mourir, plus vous en tuerez plus grande sera votre gloire. Mais mieux vaut vivre sa gloire vivant plutôt que mort, donc ne mourrez pas trop non plus !! Cet endroit est le dernier avant poste du Gondor à l'Est de l'Anduin. Si on le perd, tout sera finit, vous voulez que chute votre royaume votre grandeur ? Montrez à ces Orientaux que le peuple qui les repoussa il y a des centaines d'années de cela en est encore capable ! Montrez leur la vaillance et le courage des Hommes ! Montrez leur qu'ils n'ont rien à faire ici, et que nous les préférons mort que vifs ! Battez vous avec courage, tuez avec force et mourrez avec honneur !!!!"

Ouais !!!!!!!!!!!!!!!! reprirent les soldats. Ainsi, lorsque les Orientaux arrivèrent, pensant avoir à faire à des soldats sur la défensive et craintif, ils se heurtèrent à un groupe de combat de choc menait par HeimDhall. Ceux ci en furent trop surpris et durent reculer. Ils décidèrent de faire un petit siège, ils devaient empêcher que les Hommes du Gondor sortent du Dôme avant d'avoir put trouver le moyen de traverser. Et vu qu'un sortilège empêcher les catapultes de détruire le bâtiment, la tache n'en était que plus âpre. HeimDhall envoya quelques soldats fouiller tout le bâtiments, histoire d'être sûr. Ceux ci revirent avec des provisions et des munitions.

" Très bien, on va tenir tant qu'il le faudra. Mais on va quand même prendre un petit coup d'avance."

Il se retourna et chuchota à l'oreille du sergent gondorien. Personne n'entendit ce qu'il lui dit mais le sergent semblait surpris de ces paroles. Il emmena trois hommes avec lui, et le rôdeur interdit quiconque de les suivre, pour l'instant. Il établit des rondes de surveillance et se posta lui même près des quelques ouvertures afin de vérifier ce que faisait les Orientaux. Pendant ce temps, Galadril restait pensif.

Invité

[reservé]

HRP:dsl Galadri je sais que tu es absent, mais je dois répondre à Heim' pour que l'histoire avance.

Ainsi HeimDhall et le petit groupe de Gondorien dont il avait pris la tete s'étaient enfermés dans le Dome des Etoiles, pret à soutenir un dur siège. Les archers se plaçaient aux fenetres, faisant désormais office de meurtrières, tandis que les soldats de Gondor et les civils s'employaient à barricader l'entrée principale avec tout ce qu'ils avaient sous la main: tables renversés, poutres, lits, statues... Meme les deux trones d'argent, symbolisant la lignée d'Isildur et d'Anarion, durent etre réquisitionnés pour l'ouvrage.

Pendant que tout le monde se tenait pret pour l'inévitable assaut, trois homes de confiance furent chargés par HeimDhall d'une mission secrète. Il s'éclipsèrent vers le second étages, sous les rgards intrigués de quelques civils. Mais déjà la bataille commençait.

En effet, une soixantaine d'Orientaux s'étaient rassemblés autour du Dome, encerclant le batiment. I y avait parmi eux de nombreux cataphractaires de Rhùn, ces guerriers lourdement armés réputés autant pour leur cruauté que pour leur habileté au sabre. Certains avaient avec eux des échelels qui leur permettraient de monter sur le toit du Dome, d'autres étaient en train d'armer un bélier qui devait servir à enfoncer la porte principale.

Celui qui semblait etre le chef leva le bras: ce fut le signal de l'assaut. Les porteurs de béliers chargèrent en direction de la porte, couverts par els archers orientaux. Mais une grèle de flèche s'abbatit sur eux, si bien que deux d'entre eux s'effondrèrent, blessés à mort. Mais les autres gardèrent assez de forces pour porter un coup violent à la solide porte du Dome, qui trembla sous le choc. Sil n'y avait pas eu les civils pour la soutenir, elle aurait probablement cédé. Déjà les porteurs de bélier reculaient, pret à donner un nouveau coup. Plusieurs colonnes de cataphractaires se tenaient prets, cimeterre dégainé, pour l'assaut.

En parallèle de cela, plusieurs porteurs d'échelles s'étaient rués vers le Dome. L'un d'entre eux s'était effondré, percé de flèches, mais trois autres avaient réussi à apposer leurs échelles contre le batiment. Déjà des guerriers orientaux les escaladaient et parvenaient sur le toit du batiment. S'ils trouvaient le moyen de percer le toit pour parvenir au second étage, non seulement le palantir d'Osgiliath serait capturés, mais les défenseurs se trouveraient condamnés...

Invité

HRP : c'est pas grave Radagast.

Galadril avit décidé de se tenir à premier niveau du dome pour le protéger et ne le lacherait pas si facilement, le dernier capitaine du Gondor encore vivant, son devoir est de protéger chaque personne et de défendre ces terres maintenant ravagé. Malgré les quelques soldats montant sur les murs, Galadril tenait bon malgré les assauts, les volés de flèches sifflaient dans l'air et faisaient des ravages sur les orientaux qui n'avaient qu'une armure et une lance ou une épée sans bouclier et Galadril criait sans arret :

_ Reppousser les, tenez bon, nous avons pas résistés depuis le début pour tomber ùmaintenant.

Les hommes se battaient avec vaillance et courage, éssayant de repousser le mal de ces terres. Seul les plus vaillants se battaient au coté de Galdril juste devant les échalles et tout cela pour repousser les echelles sur les orientaux tout en bas.
Les nuages sombres s'abattaient sur la cité laissant place à la peur, mais les hommes criaient victoires pour leur soif de liberté, ils m'éprisaient chaque ennemis les tuants presque rapidement mais l'ennemi venait tojours nombreux.
Cette fois les soldats du Gondor et Galadril avaient prient leur bouclier car les haradrimes faisaent feu sur leur fortification. Les crient se faisaent rententir à milieux des corps mutilés, décapités, démanbrés, une bataille monstreuse ou les corps s'entassaient et Galadril alla prevnir un homme :

_ Va voir Radagast le Brun et prévient le qu'on peut tenir mais on commence à etre à l'étroit.

[ HRP: j'espère qu'Osgiliath possède des égouts comme dans le jeu vidéo " Le seigneur des anneaux, le Retour du Roi ", sinon, on va imaginer qu'il y des vestiges des anciens égouts de cette ville ok ?? ^^]

HeimDhall commençait à douter, les Orientaux arrivaient de partout, que ce soit par les porte et fenêtres , que par les airs par le biais d'échelles. Galadril et ses plus valeureux hommes se battaient à l'étage pour les empêcher d'entrer? Tandis qu'HeimDhall et sa troupe improvisée, se battaient en bas contre les cataphractaires. Les civils les plus forts et les plus courageux avaient même récupérés des armes au sol pour les aider. Le combat faisait rage, les hommes libres, n'ayant plus de retraites possibles, se battaient violemment, ne voulant pas se rendre si aisément. Il se battirent si violemment, que les Orientaux durent battre en retraite car ils ne s'attendaient pas à un tel combat. HeimDhall demanda à quelques hommes d'aller prêter main forte à Galadril, à l'étage. Lorsque ceux ci eurent détruit les échelles, HeimDhall rassembla tous les sergents et officiers, dont Galadril forcément.

" Ecoutez moi, ils vont revenir d'un instant à l'autre. S'ils chargent de nouveau avec cette violence, nous tiendrons, mais la fois d'après, nous perdrons beaucoup d'hommes ainsi de suite jusqu'à ce que nous soyons tous morts. Sauf si vous m'écoutez. Il y a quelques heures, j'ai envoyés dans les sous sols su bâtiments des hommes expérimentés dans un domaines spécifique : creuser. Je leur ai demandé de creuser, pour atteindre les égouts qui passent sous la ville. C'est obligé que ceux ci amènent vers le fleuve, ainsi, nous abandonneront armes et armures pour traverser le fleuve à la nage, ne vous emmitouflez pas dans des vêtements trop épais, vous risqueriez couler. Mais avant cela, il faut trouver les dites canalisations. Je suis allé les voir, ça avance, mais on en est encore loin, je ne pense pas que nous puissions les atteindre avant cette nuit. Mais les Orientaux lanceront de nouvelles charges avant minuit, nous devrons donc combattre. Surtout, ne lâchez pas vos postes, nous devons à tout pris tenir. Lorsqu'ils auront finis, huit hommes partiront devant pour vérifier l'état des canalisations, lors que nous serons sûr de pouvoir atteindre le fleuve, tous les civils les suivront. Viendra le tour des autres hommes et officiers. Mais certains d'entre nous devront rester plus longtemps encore pour retenir les flots d'Orientaux. Je suis déjà un de ceux ci. Encore une chose, ne parlez de ce plan qu'à 20 heures ce soir, pas avant, sinon certains seraient tenté de fuir dès maintenant, et tout s'effondrerait."

Dès qu'il eut finit son discours, il alla se remettre en place, et il observa ses ennemis, ils préparaient une nouvelle charge, pour bientôt. Il remplit son carquois des quelques flèches qu'il pouvait trouver au sol, et s'en alla à l'étage voir Galadril.

" Prépare tes hommes, ils arrivent. Tenez la position, ne battez pas en retraite. Il ne faut pas que nous reculions, pas maintenant."

C'est ainsi que les derniers Hommes Libres à l'est de l'Anduin durent combattre les hordes d'Orientaux. Cette fois ci, le combat fut plus long, et plus durs, car des renforts étaient arrivés. La nuit sera longue et peu d'entre eux verront le soleil se lever. Alors qu'ils combattaient, HeimDhall monta sur un rocher et continua le combat tout en criant :

" HOMMES LIBRES !!! BATTEZ VOUS JUSQU'AU BOUT !! NE LEUR DONNEZ RIEN, MAIS PRENEZ LEUR TOUT !!!!! NE RECULEZ PAS DEVANT CES FILS DE CHIENNES, OFFREZ LEUR LEUR MORT IMMÉDIATEMENT, SI VOUS NE LE FAITES PAS, EUX LE FERONT POUR VOUS !!!!!"

C'est ainsi que le combat qui semblait sans espoir et perdus d'avance pour les Hommes Libres, commença à devenir un vrai massacre pour les Orientaux ....

Invité

Après le discourt et les idées qu'avait eu Heimdall, Galadril était retourné à son niveau afin de le protéger jusqu'à la prochaine évacuation de la cité, le capitaine

Galadril avait pris son cheval et attentdait sur le mur du batiment, il avait prévue aussi des lances pour repoussé les échèlles ennemis. La nuit commencait à tombé et des torches étaient allumés autour et sur le mur. Les orientaux criaient dans Osgiliath, un champs de guerre sans doute, le nuit noir faisait des frissons dans le dos, la lune était à son zénith et sa lueur éclairait le visage de Galadril où ses chevaux voulaient dans la fin brise de vent qui était présente et celui ci prit parole devant ses soldats :

_ Soldats, si vous deviez mourrir, vous ne serriez plus là, donc, donnés tout ce que vous avez pour que la mission, soit réussite, avec Heimdall, je me suis porté volontaire pour protéger les derniers hommes à se sauvé alors, ne gàché pas vos vies maintenant. Alors, tené la ligne et battez vous !!!!

Galadril avait fair revivre juste par des paroles qui devenaient des cris de guerre ses soldats. A se momment là, les orientaux faisaient montés leur échelle mais les hommes étaient préparés et les repoussaient, dés orientaux se faisaient écrasés sous la préssion que faisait les échalles en tombant.

_ On dirais qu'on tient bien, Morgoth, et tout ce que vos armées peuvent faire ?

Alors que Galadril et les courageux combattants de Gondor repoussaient les échelles d'Orientaux, HeimDhall tentait de repousser ceux qui venaient par les niveaux inférieurs. Le combat n'était pas facile, même si le Capitaine et le rôdeur réussissaient à redonner espoir aux Derniers Hommes Libres d'Osgiliath, les combattants Orientaux n'étaient pas de simples recrues loin de chez elles, mais bel et bien de solides combattant, issus de siècle et de siècle de guerre et de violence. Chaque ennemis au sol était un pas vers la victoire, mais quelle victoire ? Mourir dans un ultime acte de résistance serait un lien manquant pour unir tous les Hommes Libres contre Morgoth. Mais le sacrifice d'un grand Capitaine Gondorien, et de ses hommes, et de lui aussi, ce n'était pas un bon plan. Que se soit pour la gloire, la postérité ou pour que l'on se souvienne tout simplement de lui, il ne voulait pas mourir, pas ici en tout cas, mourir dans un lieu envahit par l'ennemi, ça ne le faisait que très peu. C'est ce qui lui permit de ne pas lâcher prise, il y tenait à sa vie, tous ceux qui s'approchaient se condamner eux même pour une rencontre avec leurs ancêtres ...

Après avoir repousser cette vague, HeimDhall fit un petit copte rendu : trop de perte, quelles soient civiles ou militaires, leur nombre avait été divisé par deux. Cela ne pouvait plus durer. Il se rendit aux sous-sols. Là, il attendit patiemment le retour des foreurs, lorsqu'il revinrent, ce fut avec une joie immense qu'il appris qu'ils avaient réussit à trouver un passage jusqu'au égouts, et que celui ci menait au fleuve.

" Mais par contre, il faudrait beaucoup de temps avant de pouvoir évacuer tous le monde. "

"Ne vous en faîtes pas, prenez une dizaine d'hommes avec vous puis amenez TOUS les civiles. ne retiendront les flots d'Orientaux. "

"A vos ordres, maître rôdeur ! "

" Je ne suis pas ton maître..."

Sur ceux, il remonta et ordonna l'évacuation des civiles. Mais aucun soldats ou combattants ne purent pas s'enfuir, certains ne comprenant pas cet ordres, le temps était venu de s'enfuit, pour vivre. Mais pas pour HeimDhall.

" Vous vous êtes engager dans l'armée, pour la plupart, il est temps de défendre votre peuple, celui pour qui vous vous battez. tout ce qui a été accomplit ici depuis hier n'a pas été fait en vain. Désormais, nous avons put montrer aux partisans du Mal et de la Tyrannie ce que nous savons faire. Morgoth va commencer à douter, qui aurait put croire que des hommes libres en petit nombre pourraient résister à ça !?"

Il pointait les rangs de ses ennemis avec son épée. Ce soir serait le moment de vérité, s'ils commençaient à se replier, les flots d'Orientaux les poursuivraient dans les égouts, voir au délà. Il devait tenir le plus longtemps possible, s'il fuyait à son tour, se serait lâche...

Cela faisait maintenant plusieures heures que les Orientaux s'acharnaient contre le Dome des Etoiles, se heurtant à la résistance héroique des défenseurs Gondoriens. Plusieurs dizaines des leurs gisaient déjà sur le pavés, percés de flèches ou d'épées. L'attaque des boucliers avait échouée, et les guerriers ayant utilisé des échelels avaient été repoussés. Cependant, les hommes de Rhùn finirent par obtenir les renforts qu'ils attendaient. une soixantaine d'hommes de troupes supplémentaires, dont le tiers d'archers, se tenaient pret pour l'assaut ultime. Les renforts auraient pu etre beaucoup plus nombreux, mais la moitié de l'armée orientale s'était perdu dans le dédale d'Osgiliath. En effet, dans la cité en ruine, toutes les rues se ressemblaient, et la partie orientale de la cité était maintenant envahie de mauvais hommes qui déambulaient au hasard dans les rues. Meme après la bataille, certains n'allaient pas retrouver leur chemin, et le bruit court qu'il fondèrent une communauté de troglodytes dans les habitations abandonnées, se nourissant de racines et de petits animaux...

Mais revenons au présent. Les Gondoriens de HeimDhall préparaient une audacieuse évacuation par les anciens égouts d'Osgiliath, et els civils étaient déjà partis. Cependant, le capitaine Rodeur avait choisi de rester en arrière avec les militaires et Galadril, histoire de retarder une dernière fois l'assaut des envahisseurs. Les guerriers de Gondors se tenaient prets, lances dressées et épées dégainées. A l'exeption de quelques archers encore postés prets des meurtrières, ils s'étaient éloignés de la porte du Dome, car cette dernière allait etre inévitablement défoncée. En revanche, ils se tenaient pret à recevoir de pied ferme les Orientaux qui passeraient le seuil de la porte.

C'est alors que, tandis que la tension était à son comble, un archer posté près de la porte cria:

-Attention ! Ils envoient...

Le malheureux n'eut pas le temps de finir sa phrase: au meme moment, la porte fut enfoncée par une énorme créature qui chargeait.

Spoiler:

Tout un pan du mur s'écroula sous cette attaque violent, et le pauvre archer fut écrasé sous les pierres. La grotesque bete à corne s'arreta dans sa course, et regarda un instand autour d'elle. Il s'agissait d'une créature issue d'un pays lointain, plus lointain encore que le Rhun. Capturée après que sa mère ait été tuée par des chasseurs, elle avait été échangée entre de nombreuses mains, avant que les Orientaux ne l'achète pour la dresser pour la guerre. L'anneau que l'animal portait au naseau attestait de cette domination aux hommes de Rhùn. Cette créature normalement pacifique était devenue une véritable machine à tuer, dressée pour répandre mort et désolation sur son passage.

Soudain, l'animal repéra HeimDhall et son groupe qui se tenaient pret pour l'assaut. Les Gondoriens étaient certes saisi de terreur face à un tel monstre, mais il en aurait fallu plus pour les faire reculer de leur position. Après avoir soufflé de ses nariens et avoir balayé le sol de ses pattes, la Bete chargea. Elle empala un guerrier qui tentait imprudemment de lui barrer la route et se précipita vers HeimDhall et Galadril...

Invité

La bete arrivait et juste avant l'unpacte, Galadril poussat Heimdall et se décalla vers un endroit sur, les archés tiraient sur la bètes ou les flèches se plantaient difficilement, Galadril prit une lance et la lanca sur le monstre et elle se planta dans son oeil droit, celuic ci était furieux et courait partout détruisant batiment et tuant gondorriens ou orientaux. Galadril dit ensuite à ses troupes :

*Visez la tête, visez la tête ... Archés, en position, visez la porte pour que les orientaux n'entre pas en masse, soldats, formés des rangs avec vos boucliers et repoussés l'ennemi.*

Les soldats faisaient se que Galadril leur avait demandé. Des flèches de feu volaient
au-dessus des gondorriens, et des orientaux s'éffondaient sous les volées faitent par les rodeurs et archers cachés dans les tours ou sur le front. La monstrueuse créature c'était enfuite par la porte qu'elle avait détruite tuant plusieurs dizaines d'orientaux et redonnant espoir aux hommes tuant des orientaux gràce à leur nouveau mode de combat rapproché. Les hommes gagnaient espoir et repoussait l'ennemi de front, les ennemis se repliaient une nouvelle fois.

*Heimdall, nous avons perdus des hommes mais moin que la dernière fois, ils nous faut évacués les lieux en vitesse.*

Les combats continuaient, de nombreux hommes tombaient, qu'ils soient Orientaux ou Libres. Les civils avaient atteint le fleuve, mais devaient encore le franchir, tâche, relativement dure, même si d'anciens canots étaient là, sans doute abandonnés vu leur état laissant à désirer. Mais ils fallait du temps, avant que tout le monde ne put être sain et sauf à bord des embarcations. Et ce temps nécessaires, seuls les combattants pouvaient le leur donner. Et ce n'étais pas une maigre affaire, surtout lorsqu'ils virent arriver cette bête, venue du fin fond des terres Orientales. Celle ci faisait très peu de ravages, les Hommes étant partis se cacher en hauteur pour échapper à ses charges destructrices, mais leur nombre était désormais très restreint, seuls une dizaine avaient put résister, et de nouvelles attaques se préparaient déjà en dehors du Dôme des Etoiles. Les Hommes, précédemment plein d'espoirs et d'envie de vivre, faisaient désormais tête basse, voulant être ailleurs pour vivre. Mais HeimDhall, lui, était heureux. Depuis qu'ils s'étaient retranchés ici, il avait eut le temps de s'aguerrir au combat au corps à corps et voulait continuer. La bête, il l'observait, il savait que ses flancs était bien protégés, mais il voulait essayer. Son sang était chaud, il ne voulait pas refroidir, il voulait tuer, sentir le sang, le voir sur son épée. Celle ci, jusqu'à aujourd'hui n'avait que très peu servie, mais depuis près d'un jour, elle aussi était devenue avide de sang et de combat. C'est pour cette raison que, sans réfléchir, il sauta et fonça sur la bête, celle ci, le voyant arriver, chargea à son tour. Son poids faisait trembler les restes des murs et son rugissements était puissant. Mais lorsqu'elle allait écraser le rôdeur, celui ci roula sur le coté puis la poursuivit par derrière. Dès que celle ci, emportée par sa vitesse, se retrouva bloquée face à un mur et qu'elle tomba, il passa à l'attaque.

" HeimDhall !! Revenez, laissez là et fuyons ! "

Il n'écoutait pas, il approcha sa main de la bête, elle était agitée, et essayait de l'attraper. Mais elle restait bloquée. Il approcha de l'anneau, qui ornait une de ses cornes, et l'arracha. Le bête lança un rugissement encore plus puissant, forçant les plus puissants à se boucher les oreilles. Puis il l'aida à se relever, et lorsque les Orientaux chargèrent de nouveaux, la bête lécha la main de son sauveur, et chargea droit vers les Orientaux. Ceux ci, surprit d'un tel retournement de situation, se dispersèrent, essayer d'échapper à la bête. Mais elle n'avait fait que démanteler les rangs orientaux, et désormais, elle tentait de fuir cette ville, et de recouvrer sa liberté.

Pendant ce temps, HeimDhall commença à évacuer ses hommes, ou du moins ceux avec qui il s'était battu, faisant face à une mort presque certaine. Les Orientaux n'attaquèrent, de peur que la bête revienne. Il en profita pour commençait à reculer. Ceux qui embarquaient aux même moment, ayant entendus le rugissement de la bête, pensèrent que les Orientaux avaient massacrés les leurs, et ne voulant pas leur offrirent un moyen pour traverser le fleuves, ils détruisirent les quelques canots restant, et s'en allèrent. C'est ainsi que, lorsque HeimDhall arriva avec les survivants, il ne virent aucune embarcations, seulement les flots tumultueux du fleuve.

" Enlevez vos armures, ne gardez que vos vêtements et vos armes les plus légères !! Et nagez ! "

Tous les autres furent surpris, ils allaient être entrainer par le courant, jusqu'à la mer, ou se noyer avant. Certains refusèrent. Le rôdeur fit ce qu'il venait de dire, ne gardant que son épée et son arc. Puis il plongea, certains hommes le suivirent quand ils entendirent les cris des orientaux, qui commençaient à investir le Dôme des Etoiles...

Les cris furieux des Orientaux investissant le Dome des Etoiles se firent entendre, lorsque ces derniers constatèrent que le batiment était vide: non seulement les réfugiés menés par heimDhall s'étaient échappés, mais le légendaire joyau contenu entre les Murs du Dome, le palantir d'Osgiliath, n'était plus là. De rage, les mauvais hommes s'acharnèrent sur les merveilles encore restées dans le Dome: les magnifiques tapisseries furent déchirées, les trones d'Isildur et d'Anarion renversés, les objets d'art piétinés... C'était tout l'oeuvre de restauration entrepris par les hommes de Gondor qui tombait en ruine. Heureusement, dans leur colère, les Orientaux oubliaient totalement de se lancer à la poursuite des derniers survivants, qui en profitaient pour garder une confortable avance.

Nageant à contre-courant, grelottant de froid, terrifiés, la dizaine de survivants menés par HeimDhall et Galadril, dont une moitié à peine de militaires, avançaient difficilement dans els cours tumultueux de l'Anduin. Toutefois, ils avaient confiance à leur chef, et l'espoir les habitait. Ils espéraient trouver une embarcation abandonnée qui leur permettrait de s'éloigner de ces lieux maudits par la guerre. Finalement, leur endurance fut récompensée: à l'extrémité nord de la ville,d ans un lieu éloigné de la rage des combats, ils aperçurent une large embarcation qui mouillait dans un modeste port de peche. Il s'agissait d'un navire de corsaires d'Umbar, le meme qu'avait utilisé la Communauté du Silmaril Le voici rpet à appareiller, à emmener les survivants vers un havre de paix. Toutefois, la tache ne serait pas aisée: deux sentinelles haradrims montaient la garde sur la rampe menant au navire, armés de hallebardes aiguisées, le visage caché par un turban. A coté d'eux, deux autres sentinelles jouaient au carte et discutaient dans leur langage, et un cinquième homme, un oriental, dormait paisiblement, se servant d'une selle pour cheval comme oreiller.

C'est alors qu'un cri se fit entendre à l'arrière de la petite troupe:

-A l'aide ! A...

En un instand tous se retournèrent. Ce cri désespéré venait d'une des civiles de la compagnie, une jeune femme brune aux yeux profonds, qui venait de disparaitre sous les eaux, happée par une force mystérieuse. Bientot l'eau de l'Anduin fut souillée de sang clair qui remontait par bouillons, et l'on vit apparaitre à la surface, tenant encore dans ses crocs quelques lambeaux déchirés du vetement de sa malheureuse victime, une créatuire des plus internales ayant jamais souillé la Terre du Milieu:

Spoiler:

On aurait pu l'identifier à un crocodile, tels que l'on pouvait en voir dans les fleuves d'Extreme-Harad, si la créature ne mesurait pas plus de douze mètres de long et si un regard jaune luisant, semblable à celui d'un dragon, n'animait pas ses yeux braqués sur la compagnie. Il s'agissait là d'une des nombreuses perversions de Morgoth que ce dernier avait laché dans tous els cours d'eau de la Terre du Milieu, afin de répandre l'horreur des ténèbres sur tous les fleuevs et toutes les rivières.

"Heureusement" pour HeimDhall et son groupe, le cri de la pauvre femme dévorée n'avait pas atteint les sentinelles haradrims, étouffé par les hautes voutes surplombant le fleuve. mais avant de pouvoir fuir, le Rodeur du nord et ses derniers compagnons devraient tout d'abord échapper à cette abomination de la nature. Très vite, le regard du crocodile géant s'était dardé sur HeimDhall, qui se distinguait des autres par sa taille et par la force qui animait son regard. Bientot, la créature disparut sous els eaux, et chargea telle une torpille sur le Rodeur, sa large gueule ouverte, pour le happer comme l'avait été sa dernière victime...

A ce moment là, HeimDhall commença de perdre espoir, d'abord il devait se débarrasser d'une bête gigantesque et terrifiante, de plus, il lui fallait aussi éliminer les gardes de ce navire, pour s'en emparer et ainsi sauver tous ces Gondoriens, hommes, femmes, civils, militaires qui avec le temps lui avaient accordés leur confiance. LA deuxième tâche, il pensait pouvoir réussir, mais tuer cette bête, qui était en train de le charger pour l'avaler, ça lui paraissait nettement plus dur, ce qui en somme était vrai. EN un instant la bête fut sur lui, mais il eut le temps de sauter sur un rocher avant. Cela n'allait pas empêcher la bête de le tuer, mais pour le découvrir elle devait sortir sa gueule et ses yeux de l'eau. Il prit le risque de parler :

" Courez jusqu'au navire, et prenez le, je vous rejoindrez."

Ainsi, il put observer la bête qui tournait autour de lui, sans l'apercevoir, ou du moins c'est ce qu'il crut. Depuis le début elle l'avait vu, et elle patientait, le temps de trouver une alternative et ainsi le tuer. Mais ce n'était qu'une bête, et non un Homme, elle ne pouvait donc pas réfléchir tel que ceux ci et elle conclut que la meilleur façon était de se jeter sur lui pour l'entraîner dans les profondeurs du fleuve pour qu'il s'y noie, puis le manger. Mais le rôdeur anticipant toutes tentatives, avait pris son arc t l'avait bander avec une de ses flèches ayant servis à tuer le dragon il y a peu. Il patientait fixant l'eau, tentant de percevoir la moindre vibration afin de tirer le premier. Alors qu'il regardait où en était ses compagnons de fortune, la bête attaqua et sauta sur lui. Il n'eut que le temps de se jeter à l'eau et de décocher une flèche à la va vite. Mais la chance lui sourit ce jour là, la flèche perfora le cuir de la peau de l'animal près du coeur, et celui ci se tordit dans l'eau dans tout les sens et glapissant. HeimDhall regarda le bateau et prit peur que les hurlements du monstre n'aient pu avertir les gardes de leur présence. Heureusement pour les survivants, ils avaient pu se débarrasser des gardes avant que la bête n'eut été touchée par le rôdeur.

Pendant qu'HeimDhall s'occupait de la bête, ceux ci avaient pu tuer les quelques Haradhrims restés là, et s'emparer du navire. Mais suivant leur désir de liberté et de pouvoir vivre, ils partirent directement, laissant seul le rôdeur, dans une ville occupée par l'ennemi et avec un monstre rodant dans les environs.et ce n'était pas pour le ravir, même si il aime les défis et les combats ayant peu de chance de tourner à sa faveur, il voulait se reposer et réparer son équipement, après deux jours de combat dans le Dôme des Etoiles, puis une course jusqu'au fleuve, puis au bord du fleuve, puis cette bête, il commençait à fatiguer. Il ne vit donc qu'une seule solution pour rattraper le bateau : la nage. Heureusement pour lui, il n'était qu'à une vingtaine de pas de la côte. Il sauta donc à l'eau, vérifiant de bien accrocher armes et flèches, et nagea. Alors qu'il atteindre une échelle, jetée là par un des soldats qui l'avait vu arrivait et ne voulait pas le laisser face à une mort certaine, la bête ressurgi. Le rôdeur s'arrêta et prit sa hache. Il attendit qu'elle arrive sur lui et s'accrocha sur elle. A ce moment là, elle se secoua dans tous les sens en donnant des coups de pattes. L'un d'entre eux atteignit le pied droit de HeimDhall. Il lui asséna quelque coup sur le crâne, ce qui calma le monstre qui s'en alla vers les profondeurs. Le rôdeur ne perdit pas de temps, dès que la bête l'eut lâché il nagea le plus vite possible vers le bateau et monta à bord. Son cauchemar était fini. Si tout se passait bien, il pourrait dormir ce soir.

Tandis que ses compagnons se précipitaient vers le bateau pour s'en emparer au plus tot, HeimDhall s'employa à neutraliser l'ignoble crocodile géant. La bete avait pour elle sa mobilité dans l'eau, sa taille et sa gueule meurtrière. Mais HeimDhall était un etre humain, capable de raisonnement et de stratégie. Il sut utiliser à bien cet avantage pour percer la cuirasse d'écaille de la créature près du coeur. L'animal rugit, et l'eau bouillonna tandis qu'il se débattait dans tous les sens. Un violent coup de queue fit s'effondrer l'arche de pierre au-dessus d'HeimDhall, manquant de l'écraser. Fort heureusement, le Rodeur put rallier ses compagnons qui s'était emparé sans subir de pertes du navire de la Communauté. Deux des gardes haradrims étaient morts et les autres s'étaient enfuis. Le vaiseau put bientot larguer els amarres, et s'éloigna d'Osgiliath en direction du Nord.

En regardant au Sud, HeimDhall pouvait contempler l'immense armée des Mauvais Hommes qui encerclait Osgiliath. Logiquement, les Assiégés n'avaient pas la moindre chance de s'en sortir. Toutefois, les haradrims et orientaux avaient déjà fait preuve de leur ineptie au combat de siège, et les défenseurs avaient avec eux de puissants héros. Bref, rien n'était joué d'avance.

A l'exeption des femmes et des enfants qui restaient cloitrés dans leurs cabines, encore sous le chocs des derniers évènements, tous les réfugiés et soldats étaient au travail. Certains manipulaient les voiles, d'autres étaient au rame, l'un d'entre eux tenait la barre, des archers se tenaient postés à la proue... Le navire était entièrement sous controle. Le Soldat de Gondor qui pansait HeimDhall ajouta discrètement:

-Capitaine... nous avons mis vous-savez-quoi à l'abri dans les cales du bateau. Il ne risque rien. En revanche nous n'avons aucune nouvelle du capitaine Galadril.

Tout était donc pour le mieux. Avec de la chance et si le vent leur était favorable, nos compagnons auraient rejoints les terres Rohirrims après deux jours de navigations. Là, il pourraient au choix rejoindre les partisans gondoriens qui s'étaient organisés en réseaux en plein territoire occupé ou alors gagner l'une des dernières terres libres, le Royaume d'Arnor, pour y prendre un repos bien mérité.

C'est alors que la coque du navire trembla. Sous le choc, l'un des archers postés à la proue faillit meme basculer dans l'eau du fleuve, où son armure l'aurait fait. Terrifiés, certains memrbes d'équipage se penchèrent par-dessus bord pour voir ce qu'il en était. Bientot apparut la tete monstrueuse du crocodile géant. La créature ouvrit son énorme gueule, une rage infernale luisait dans ces yeux. Il était toujours blessé près du coeur, et la souffrance causée par la plaie l'avait rendu fou. Au point qu'il s'acharnait comme un démon contre la coque du navire, espérant la percer pour dévorer tous son équipage.

L'animal repartit tout de suite à l'assaut, et à nouveau les humains tremblèrent sur le pont. Un sinistre craquement se fit entendre: cette fois, le monstre venait de créer une fissure dans la coque. ladite fissure pouvait bien etre colmatée, mais il fallait neutraliser l'animal avant qu'il ne fasse plus de dégats. Les Gondoriens avaient à leur disposition un harpon tout en fer laissé par la Communauté du Silmaril: il s'agissait d'une arme taillée spécialement pour la peche sous-marine. Heureusement, une fois le crocodile définitivement morts, HeimDhall et sa troupe aurait triomphés de leur dernier adversaire...

» Bataille des Monts du Fer