Test de Aylir.

Le jour se levait sur les Terres du Milieu, un soleil éclatant apparait au loin.
Le soldat Aylir était de garde cette nuit, aucun n'incident n'était survenu. Il avait tourné dans toute la Cité Blanche d'un pas sur mais fatigué. Heureusement le jour commençait à pointé le bout de son nez, ce qui fit sourire le jeune soldat de 28 ans qui allait enfin pouvoir se reposer.

Il se leva de ça chaise de garde installé sur les ramparts près du Cor d'alerte. Il posa ça main gauche sur la poignée de son épée et prit son casque sous son coude droit et partit vers la caserne. Il descenda les escaliers qui menaient aux ramparts excusivement réserver aux soldats. Il croisa l'un de ses ami qui montait lui vers les ramparts de Minas Tirith, il le salua d'un signe de tête et continua ça route. Il arriva dans le coeur de la Cité, il marcha encore deux minutes pour arrivé un peut plus haut dans la Cité Blanche pour finalement arriver à la caserne.

Il passa le pas de l'entrée et arriva dans la salle de détente si l'on peut dire, il l'a traverça d'un pas lent jusqu'aux dortoirs où il posa son casque et son épée sur le côté du lit de fortune qui lui était réservé. Il se déshabilla et se coucha en tenue légère.

Il dormit quatres heures, et il fut réveillé par le Cor d'Alerte de Minas Tirith, il se leva promptement et enfila son armure et attrapa ça ceinture à laqu'elle était accrochée son épée, il attrapa son casque et sortit en courant dehors, les soldats couraient, les cavaliers étaient au galop. Il attacha ça ceinture et mis son casque sur ça tête tout en allant vers le lieu de rassemblement. Il regarda partout et vit finalement que les Feux d'Alarmes étaient allumés ! Il pressa le pas et arriva au pas de course devant la grande salle du Roi, ce dernier était posté devant tous ses soldats qui étaient au garde à vous et le regardait d'un oeil inquiet. Aylir était tout derrière et il arrivait à peine à entendre ce que disait son Roi. Il alla retrouvé ses amis soldats un peut plus profondément dans la foule de Soldats en uniforme.


Les soldats répondèrent tous en criant la même phrase que leur Roi : "Vive le Gondor !" Ils partirent aux pas de course vers les écuries.
Aylir lui était éclaireur et avait donc eu le privilège d'obtenir une monture forte et fidèle. Arriver aux écuries, les palefreniers avaient déjà préparé les chevaux, le jeune soldat Aylir sauta en selle et talonna son cheval qu'il avait nommé Hytril.

Le Pont-Levis avait été abaissé et les cavaliers du Gondor furent les premiers à sortir de l'enceinture suivit de près par les soldats à pieds. Le Commandant de la cavalerie reçu l'ordre du Roi d'envoyer des éclaireurs repérer ce qu'il se passait au loin et voir si aucune embuscade n'allait être tenté, ainsi Aylir et d'autre éclaireurs allaient servir les premiers le Gondor dans cette bataille.

Le commandant prénomé Orle les envoya une fois le premier jours de chevauchée passé. Aylir était en tête des éclaireurs, il galopait vers les contrées du Rohan désormais, il entra le premier en Terre du Rohan, il scruta avec l'oeil du faucon chaque recoin, aucune embuscades à première vu. Il décida d'envoyer deux hommes sur ça droite et deux autres hommes sur ça gauche, pendant que lui et un autre soldat iraient droit devant. Ils galopèrent ensembles et ne virent aucune embuscade ni aucun piège.
Aylir arrêta son cheval et descenda de selle, il posa un genoux à terre, il enleva son casque et passa ça main sur une trace de pied incrusté dans le sol. Il regarda son compagnon toujours en selle et qui regardait au loin pour être prêt à contré toute offensives ennemi. Aylir déclara :


Aylir se leva, son casque sous le coude, il regarda à l'horizon et remonta finalement en selle. Au moment où ils allaient repartir, ils virent tout deux en même temps des Orques au nord en train de se diriger dans leur direction. Le compagnon d'Aylir sonna le Cor d'Alerte, et ils partirent au triple galop rejoindre la garnison toujours en marche vers le Rohan.
Les éclaireurs arrivèrent presque en même temps vers le convoi d'homme de guerre. Aylir cria haut et fort à son commandant encore à quelques mètres de lui :


Orle avait l'air de réfléchir, il stoppa la longue colonne et ordonna à ses cavalier de former une ligne et posta les archers derrière eux, il fit placer ses soldats dos aux archers regardant vers le Gondor, ce qui étonna tout le monde.


Il ordonna aux éclaireurs de prendre place dans les rangs pendant qu'il galopait devant la ligne en criant :


Les soldats sortirent leur épée presque tout en même temps dans un bruit de feraille et les archers bandèrent leurs arcs en attendant le signal d'Orle.

Aylir vit les Orques arriver au nord, il ne pouvait pas voir le Sud car il était de dos à ce point cardinal. Le bruit des pas des Orques se faissaient de mieux en mieux entendre dans les contrées du Gondor aux limites du Rohan. Il souffla et ferma les yeux.


Voilà ! J'espère n'avoir pas fait trop de fautes ! Et puis : BONNE ANNEE !!

Ah oui ! Comment fait-on, et peut-on, monter en grade ? Si oui comment ? Merci !

Cordialement, Aylir, soldat du Gondor.